L'Islam et l'arabisation de la Berbérie. Ils étaient certes préparés au monothéisme absolu de l'islam par le développement récent du christianisme, mais aussi par un certain prosélytisme judaïque dans les tribus nomades du Sud et peut-être encore, pour certains, par le souvenir de l'omnipotence du grand dieu africain, nommé Saturne par les Latins, successeur du Baal Hammon punique, dont la pré-éminence sur les autres divinités préparait au monothéisme.
Angel Saenz Badillos, « Les recherches sur les juifs d'al-Andalus dans les vingt-cinq dernières années », Revue du monde musulman et de la Méditerranée, vol. 63, no 1, , p. 63–79 (DOI10.3406/remmm.1992.1539, lire en ligne, consulté le ).
Bernard Lewis, « L'islam et les non-musulmans », Annales. Histoire, Sciences Sociales, nos 3-4, , p. 784 (lire en ligne).
Angel Saenz Badillos, « Les recherches sur les juifs d'al-Andalus dans les vingt-cinq dernières années », Revue du monde musulman et de la Méditerranée, vol. 63, no 1, , p. 63–79 (DOI10.3406/remmm.1992.1539, lire en ligne, consulté le ).
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Qu'est-ce qu'un « dhimmi » ? Outre la fiscalité, les non-musulmans étaient soumis à d'autres restrictions juridiques : un musulman ne pouvait hériter d'un dhimmi ni un dhimmi d'un musulman.