Les dates de naissance et mort sont données dans le Dictionary of American Biography Base Set, American Council of Learned Societies, 1928-1936, reproduit dans le Biography Resource Center. Farmington Hills, Mich., Thomson Gale, 2006, http://galenet.galegroup.com/servlet/BioRC
Dans Le Cabaret de la dernière chance, aux chapitres VII et VIII, il écrit de la « reine des pirates d'huîtres » : « The queen asked me to row her ashore in my skiff… Nor did I understand Spider's grinning side-remark to me : "Gee ! There's nothin' slow about YOU." How could it possibly enter my boy's head that a grizzled man of fifty should be jealous of me? And how was I to guess that the story of how the Queen had thrown him down on his own boat, the moment I hove in sight, was already the gleeful gossip of the water-front ? » Le récit est disponible sur le site: 318
« Quant à sa mort, [Yves Simon] penche plus pour un suicide que pour un accident. L'homme a trop écrit, trop vécu — au sommet de sa gloire, il s'impose de nouveaux défis : tour du monde avec son propre bateau, le Snark, reportages tous-terrains. Son cœur, sa tête sont trop pleins, son corps malade. La machine humaine a tourné au-delà de ses forces et de ses moyens. Le génie fatigué de la vie disparaît avant d'avoir eu l'idée de vieillir : « Je ne perdrai pas mes jours à essayer de prolonger ma vie, je veux brûler tout mon temps » [Les Échos du 24 novembre 2009, « Un génie brûleur de temps », PH. C, sur le livre Jack London, Le vagabond magnifique, d'Yves Simon, Coll. « Destin chez Mendès », 2009 ].