François Jarrige (dir.) et Julien Vincent (dir.), « La modernité dure longtemps ». Penser les discordances des temps avec Christophe Charle, Paris, Publications de la Sorbonne, (lire en ligne), « Jacques Ellul technocritique : Une trajectoire intellectuelle dans les discordances des temps. », p. 139-160.
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Marc Malherbe, La faculté de droit de Bordeaux : 1870-1970, Talence, Presses universitaires de Bordeaux, , 500 p. (ISBN9782867811630, lire en ligne), p. 317.
Jacques Chancel, « Radisocopie de Jacques Ellul », France-Inter, 1e octobre 1980 Dans cette interview, Jacques Ellul ajoute que son nom, "Eloul", a une signification en hébreu, où ce mot désigne un mois de l'année, point repris par Frédéric Rognon (Rognon 2007, p. 24). L'étymologie juive de ce nom de famille peut toutefois être considérée comme douteuse du fait que la langue maltaise étant sémitique, ce nom peut avoir de multiples origines. La racine du mot maltais pour "juillet" ("lulju", sans doute aussi influencé par l'italien "luglio") n'est pas non plus très éloignée.
Antoine Viviani, « La technologie possède les qualités que nous cherchons dans la religion », Rue 89, Nouvel obs, (lire en ligne).
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Concept développé par Marx et repris par Ellul, mais controversé au sein des sciences humaines. Par exemple La fausse conscience est-elle un concept opératoire ? R. Paris, Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, 1963, vol. 18, no 3, p. 554-560.