« Réponse de M. Jacques Warnier », La Revue hebdomadaire, 27 mars 1937. Dans ce dernier article, Warnier cite ses lettres envoyées au ministre du commerce en 1935, pour contrer un projet de loi qui ne tient compte que de l’organisation économique. Il s’agit dans cet article d’une réponse à une enquête menée par Emmanuel Beau de Loménie et intitulée « Nos chefs d’entreprise devant la réforme économique ». De cette enquête, à laquelle se sont prêtées des personnalités comme Claude-Joseph Gignoux, Jean Fraissinet, Jean Coutrot, Nicolle, Raty ou Darcy, les auteurs concluent que la plupart des patrons souffrent de « l’absence d’un programme d’action, d’une volonté précise », à l’exception de quelques hommes comme Warnier.
L’Entreprise, no 6, 15 juin 1953. Un industriel du textile vosgien lui vient en aide en 1940 : Georges Laederich, que l'on va trouver à la commission patronale de l'Office des comités sociaux. Warnier témoignera en sa faveur lors du procès de Laederich en 1946 : cf. Régis Boulat, « Jacques Warnier, itinéraire d’un patron corporatiste des années 1930-1950 », op. cit., Richard Vinen, op. cit.