Dans la gestion des arbres urbains, la plupart des collectivités territoriales utilisent systématiquement, conformément à la loi ([1]) mais à tort du point de vue sylvicole[46], le terme « élagage » pour émonder leurs arbres, ce qui, joint au fait que leur substrat est généralement étanche et ne reçoit pas les précipitations (qui vont au caniveau) finit par les affaiblir : ils sont alors atteints par diverses maladies qui nécessitent leur abattage et remplacement, opérations qui montrent aux citoyens la diligence de ces collectivités[47]
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Melvin Lefèvre, Les carrières souterraines du Jardin des plantes, [8] ; art. « Les grandes figures disparues de la spéléologie française », in Spelunca n° 31 (juil.-sept. 1988, n° spécial « Centenaire de la Spéléologie ») [9] et Michel Fleury, Jeanne Pronteau, « L'œuvre architecturale d'Edme Verniquet (1re partie) », in École pratique des hautes études, 4e section, Sciences historiques et philologiques, annuaire 1975-1976, 1976, p. 629-669.
Annuaire 1976-1977, Association de prévoyance et de secours mutuels des médecins du département du Nord, Éditions Librairie Droz (ISBN9782600053365), p. 662.
Jean-Pierre Gasc, Projet de restitution du bassin de l'esplanade Milne-Edwards, Société des Amis du Muséum national d'histoire naturelle et du Jardin des Plantes, Paris, juin 2014, page 20, [12].
Melvin Lefèvre, Les carrières souterraines du Jardin des plantes, [8] ; art. « Les grandes figures disparues de la spéléologie française », in Spelunca n° 31 (juil.-sept. 1988, n° spécial « Centenaire de la Spéléologie ») [9] et Michel Fleury, Jeanne Pronteau, « L'œuvre architecturale d'Edme Verniquet (1re partie) », in École pratique des hautes études, 4e section, Sciences historiques et philologiques, annuaire 1975-1976, 1976, p. 629-669.
