Depuis les lettres patentes de Louis XIV du unissant la « surintendance des eaux minérales et médecinales du Royaume à la charge de premier médecin du Roy », le titulaire était la même personne.
« Ces lettres pseudonymes fort piquantes dans lesquelles Sénac réfute la doctrine de Sylva sur la révulsion et la dérivation, et écrites contre plusieurs médecins du temps, attirèrent des désagréments à Laméthrie, qui fut accusé d'en être l'auteur, et dont elles occasionnèrent en partie l'expatriation. »Joseph-Marie Quérard, « Senac (Jean-Baptiste »), dans La France littéraire, ou dictionnaire bibliographique des savants, 1838, p. 46.