C'est la date retenue par Têtu et Gagnon 1887. (fr + la) « Monseigneur de Saint-Vallier », dans Henri Têtu et Charles-Octave Gagnon, Mandements, lettres pastorales et circulaires des évêques de Québec, vol. 1, Québec, Imprimerie générale A. Côté, 1887, p. 163–514
Mandements, avis, règlements, lettres, ordonnances, statuts de synodes, lettres pastorales etc. Précédé (p. 163) d'une notice biographique.
Le mot de « rituel » ne doit pas faire croire qu'il ne s'agit que d'un ensemble de rites et de formules. On doit plutôt penser qu'à travers ces rites, c'est la vie quotidienne qui est décrite ; on apprend par exemple (p. 653 de l'Édition 671) que les femmes de la paroisse s'assemblaient pour élire la sage-femme.
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Cette citation se trouve sur le site Croire et vouloir de la congrégation.
Lettre de Saint-Vallier citée dans : H. ursulines, t. 1, p. 106–107 et dans Henri Têtu, Les évêques de Québec, p. 138. « Si Sa Majesté ne s'opposait à mon retour dans mon diocèse… ». [H. ursulines, t. 1] t. 1, 1888 ; t. 2, 1892 ; t. 3, 1898 ; t. 4, 1911
« Il consacrait au nouveau monastère tous ses bénéfices et ses épargnes, et comme l'argent était alors
chose fort rare dans la colonie, les sacrifices pécuniaires que le digne évêque s'imposait ont assurément un double prix, et méritent une reconnaissance éternelle. »H. ursulines, t. 1, p. 76. [H. ursulines, t. 1] t. 1, 1888 ; t. 2, 1892 ; t. 3, 1898 ; t. 4, 1911
La sœur Juchereau, historienne de l'hôtel-Dieu, en donne la raison suivante : « On crut à Rome que c'était sans conséquence pour les affaires du temps d'accorder les bulles à un évêque d'un pays étranger ; et, par la même raison, le roi permit à M. de Saint-Vallier de les recevoir » : Histoire de l'hôtel-Dieu de Québec, Montauban, 1751, p. 301 (accès gratuit après inscription).
Abel Vincent, parlant de cet hôpital, écrit : « institution due en partie aux bienfaits et à la pieuse initiative de messire Jean Baptiste de la Croix de Chevrières, d'abord aumônier du roi, prieur commendataire de Saint-Vallier, puis évêque de Québec » : Notice historique sur Saint-Vallier (Drôme), 1857, p. 56.
Pas de traces de conflit dans cette partie de la vie de Saint-Vallier, excepté entre lui et son frère aîné, nettement moins dévot. Il est vrai que notre source pour ces années-là est la sœur Saint-Félix, très portée au panégyrique. Helena O'Reilly (sœur Saint-Félix), Monseigneur de Saint-Vallier et l'Hôpital général de Québec, Québec, C. Darveau, 1882, 743 p.
Lettre de Saint-Vallier citée dans : H. ursulines, t. 1, p. 106–107 et dans Henri Têtu, Les évêques de Québec, p. 138. « Si Sa Majesté ne s'opposait à mon retour dans mon diocèse… ». [H. ursulines, t. 1] t. 1, 1888 ; t. 2, 1892 ; t. 3, 1898 ; t. 4, 1911
