Barry S. Brook« Pergolesi: research, publication and performance » () (lire en ligne) —The present state of studies on Pergolesi and his times. November 18–19, 1983, Jesi, Italy.
Ce portrait a été offert en 1874 à l'ancien Collegio di musica San Sebastiano de Naples par le musicologue napolitain Francesco Florimo(en), ami de toujours de Vincenzo Bellini depuis leur jeunesse ensemble au Conservatoire. Le tableau a longtemps été qualifié de portrait de Pergolèse et a récemment été parfois attribué à Domenico Antonio Vaccaro (e.g. De Simone, p. 6), ce qui le ferait effectivement remonter à l'époque de Pergolèse. Jusqu'à présent, cependant, cette attribution n'a pas été partagée par le site du musée du Conservatoire de Naples, où le tableau est conservé [(it) « Ritratti », sur Conservatorio di musica San Pietro a Majella (consulté le )]. D'ailleurs, en tant que portrait de Pergolèse, il n'apparaît guère compatible avec les deux caricatures de Ghezzi (également présentées dans cet article), qui sont certainement authentiques, quoique Radiciotti le juge le moins incompatible de tous les nombreux portraits imaginatifs du musicien qui nous sont parvenus (p. 260).
variantiallopera.it
Texte selon la publication tenue en 1737 [lire en ligne] (site Varianti all'opera par 3 universités).
Ce portrait a été offert en 1874 à l'ancien Collegio di musica San Sebastiano de Naples par le musicologue napolitain Francesco Florimo(en), ami de toujours de Vincenzo Bellini depuis leur jeunesse ensemble au Conservatoire. Le tableau a longtemps été qualifié de portrait de Pergolèse et a récemment été parfois attribué à Domenico Antonio Vaccaro (e.g. De Simone, p. 6), ce qui le ferait effectivement remonter à l'époque de Pergolèse. Jusqu'à présent, cependant, cette attribution n'a pas été partagée par le site du musée du Conservatoire de Naples, où le tableau est conservé [(it) « Ritratti », sur Conservatorio di musica San Pietro a Majella (consulté le )]. D'ailleurs, en tant que portrait de Pergolèse, il n'apparaît guère compatible avec les deux caricatures de Ghezzi (également présentées dans cet article), qui sont certainement authentiques, quoique Radiciotti le juge le moins incompatible de tous les nombreux portraits imaginatifs du musicien qui nous sont parvenus (p. 260).