Ou « Pittard », avec deux « t ». On trouve également en ancien français la graphie « Jehan Pitart » ou encore en latin « Ioannes Pitart » (Noé Legrand, Les Collections artistiques de la faculté de médecine de Paris, Paris, Masson et Cie, (BNF32366865), p. 47 et suiv.).
google.fr
books.google.fr
Frédéric Pluquet, Essai historique sur la ville de Bayeux et son arrondissement, Caen, T. Chalopin, (lire en ligne), p. 423.
persee.fr
Antoine Thomas, « Jean Pitart, chirurgien et poète », Comptes rendus des séances de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, vol. 60, no 1, , p. 98 et 100 (lire en ligne).