Jean Pouget (French Wikipedia)

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defense.gouv.fr

memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr

  • Dossier de résistant de Jean Pouget, Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 487872 en ligne

free.fr

guy.perville.free.fr

  • Guy Pervillé : « Épisode raconté par Yves Courrière dans Le temps des léopards, et par son héros dans Bataillon RAS, Algérie, Presses de la Cité, 1981 ; utilisé dans les scénarios de RAS par Yves Boisset et d’Avoir 20 ans dans les Aurès par René Vautier », La guerre sans nom : appelés et rappelés en Algérie (1992), en ligne

google.fr

  • Sous la direction de François Cochet, Dictionnaire de la guerre d'Indochine, Place des éditeurs, 2021, p. 534
  • « Dans les premiers jours de mai à Alger, je m'entretins avec Robert Lacoste au palais d'été, éblouissante résidence du ministre de l'Algérie. Conversation très libre et très franche comme de coutume entre nous. L'avenir de l'antenne du ministère de la Défense fut évoquée avec insistance par mon interlocuteur. Cette antenne, complétant le système des missi dominici, avait pour mission de m'informer au jour le jour de tous les faits en relation avec le domaine militaire, c'est-à-dire de tout. Elle était placée sous les ordres du commandant Jean Pouget, aussi précis que passionné. Léon Delbecque assumait la liaison avec moi... », Jacques Chaban-Delmas, L'ardeur, 1975, p. 181
  • « Pouget, Lartéguy, Coutard, Brigitte Friang - l'une des plus jeunes déportées de la Gestapo, l'ex-attachée de presse de Malraux, la brevetée de parachutisme militaire pour mieux couvrir la guerre française en « Indo », revenante comme envoyée spéciale de Radio-Luxembourg -, ils étaient tous là en bande, pour « l'adieu à Saïgon ». J'avais décidé de ne pas me laisser impressionner et de me tenir à l'écart d'un certain folklore « asiate ». Tout de même, Pouget m'épata ! Comme Pouget, Christian Hoche travaillait pour Le Figaro. Le 27 avril, deux jours après son arrivée, accompagné du photographe Michel Laurent, il avait été pris dans un accrochage entre les communistes et les miliciens sudistes en chemise noire qui leur opposaient une ultime résistance sur la route de Xuan Loc, à une cinquantaine de kilomètres de la capitale. [...] Dès que la situation le permit, le 4 mai, Jean Pouget prit la route de Xuan Loc, repéra deux tombes au bord de la route et les fit ouvrir. Dans l'une, reposait Michel Laurent ; dans l'autre, il y avait un Vietcong, reconnaissable à son uniforme. Alors, de son propre chef, sans passer par l'ambassade, Pouget s'adressa à un de ses amis planteur, un Français qui connaissait la région et parlait vietnamien. Ensemble, ils firent leur enquête, remontèrent de village en village et finirent par retrouver Hoche, simplement blessé, soigné à la dure dans un hôpital de campagne vietcong. Ils obtinrent l'autorisation de repartir avec lui, contre trente litres d'essence, et le ramenèrent au Continental. », Jean de La Guérivière, Indochine, l'envoûtement, Seuil, 2021, p. 175 en ligne
  • Yves Boisset : « R.A.S. n'a d'ailleurs pas suscité que des réactions négatives dans l'armée. A cet égard, le cas du commandant Pouget est exemplaire. Spécialiste de l'action psychologique, Pouget a fortement inspiré l'officier parachutiste remarquablement interprété par Philippe Leroy-Beaulieu (et non pas par Bruno Cremer). Héros de la bataille de Diên Biên Phû, il avait été fait prisonnier par le Viêt-công et incarcéré dans le fameux camp n° 1. Après sa libération, il avait continué sa carrière en Algérie et avait été chargé de reprendre en main une compagnie disciplinaire isolée aux confins du désert. Se référant à des événements réels, R.A.S. montre comment Pouget a tiré parti d'une embuscade dans laquelle étaient tombés plusieurs de leurs camarades pour galvaniser ses hommes et les pousser à combattre le FLN. Certains l'avaient même soupçonné d'avoir attiré ses soldats dans un piège pour leur insuffler un esprit de vengeance. Je crois honnêtement Pouget incapable d'une manœuvre aussi abjecte. Qu'il se soit servi de cette embuscade pour reprendre en main des soldats insoumis, c'est évident. C'est ce que montre clairement le film. Mais je ne crois pas un instant qu'il ait pu sciemment envoyer ses hommes à la mort. Bien qu'il en ait contesté l'esprit antimilitariste, Pouget a toujours défendu l'exactitude et la rigueur de R.A.S. La plupart des anciens d'Algérie s'accordent d'ailleurs à penser que c'est le film le plus juste et le plus objectif qui ait été tourné sur la guerre d'Algérie. Plus les années passent, plus les passions s'estompent, plus R.A.S. est considéré par tous comme un témoignage indispensable sur cette période troublée. C'est un des films dont je suis le plus fier, et le personnage joué par Jacques Spiesser est probablement le plus proche de moi —avec le jeune héros insoumis et incompris d'Allons z'enfants. », Yves Boisset, Bernard Pascuito, La vie est un choix, 2011, p. 245-247 lire en ligne
  • L'Avant-scène Cinéma · Numéros 136-142, p. 57 lire en ligne
  • Bénédicte Chéron, Pierre Schoendoerffer, CNRS, 2012, p. 103 [2]

lemonde.fr

  • Jean Planchais, « "Nous étions à Dien-Bien-Phu" de Jean Pouget », Le Monde, 15 février 1965, en ligne
  • Jean Lacouture, « "Le manifeste du camp No 1" de Jean Pouget », Le Monde, 8 novembre 1969, en ligne
  • Michel Castaing, « Le commandant Jean Pouget s'est toujours opposé à la torture a affirmé son ancien supérieur en Algérie », Le Monde, 1er février 1975, en ligne.
  • Jean Lacouture, « "Le manifeste du camp No 1" de Jean Pouget », Le Monde, 8 novembre 1969, en ligne

matchid.io

deces.matchid.io

tallandier.com

  • Le Manifeste du camp no 1 - Le calvaire des officiers français prisonniers du Viêt-minh, Fayard, 1969 ; réédité aux éditions Tallandier en 2014 [1]

youtube.com

  • « ... dont mon merveilleux camarade Pouget qui est au Figaro...qui était porte-bidons de Navarre, un vieux soldat, et quand il a vu que Dien Bien Phu était foutue, il a dit, moi il faut absolument que je saute avec les camarades. Et Pouget est de ceux qui ont sauté les deux derniers jours...Je les ai beaucoup admiré », Général Bigeard (8 novembre 1974), Radioscopie, en ligne (17:48)