La lettre dit notamment ceci selon le site de Barbara Wahl, fille de Jean Wahl : « j’estime qu’il ne serait conforme ni à la dignité de l’école, ni à la simple équité, de demander à un professeur de la Sorbonne d’assurer un enseignement sans rémunération. »
...en vertu du décret du 3 octobre 1940, dit « premier statut. » Cf. à ce sujet Jean Gribenski, « L’antisémitisme au conservatoire : du recensement des élèves juifs à leur exclusion (1940-1942) », Revue d’Histoire de la Shoah, no 198, , p. 363-381 (DOI10.3917/rhsho.198.0363, lire en ligne).
D'après Barbara Wahl, « Autour de Jean Wahl: textes, traces, témoignages », Rivista di Storia della Filosofia, vol. 66, no 3, , p. 517-538 (DOI10.3280/SF2011-003006, lire en ligne)
...en vertu du décret du 3 octobre 1940, dit « premier statut. » Cf. à ce sujet Jean Gribenski, « L’antisémitisme au conservatoire : du recensement des élèves juifs à leur exclusion (1940-1942) », Revue d’Histoire de la Shoah, no 198, , p. 363-381 (DOI10.3917/rhsho.198.0363, lire en ligne).
Cf. à ce sujet Ruth J. Dean, « Pontigny en Amérique », The Modern Language Journal, vol. 28, no 2, , p. 166-167 (DOI10.1111/j.1540-4781.1944.tb04840.x)
lemonde.fr
Cette lettre a été présentée lors de l'exposition « Entre collaboration et résistance », sur la vie littéraire française sous l'Occupation, présentée à la New York Public Library en 2009 et dirigée par Robert Paxton. Dans une interview au journal Le Monde, R. Paxton répond que cette lettre est « un des deux documents qui [le] frappent le plus »: « sinueuse et empêtrée », elle montre que « une partie du monde universitaire et éditorial a fait appliquer le "Statut des juifs", sans grande pression de la part du gouvernement. »
Le Monde, « M. jean wahl grand prix littéraire de la ville de paris », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
D'après Barbara Wahl, « Autour de Jean Wahl: textes, traces, témoignages », Rivista di Storia della Filosofia, vol. 66, no 3, , p. 517-538 (DOI10.3280/SF2011-003006, lire en ligne)