Il signe Hans Höwelke son testament de 1639 ; en 1631 son nom apparaît en latin comme Johannes Höffelius Dantiscanus (Johann Höffel de Dantzig) : Himmel und Erde, vol. 15, Berlin, B. G. Teubner, 1903, p. 529. Delambre (p. 495), après consultation de sa correspondance, trouve qu'il signait Hoffel mais qu'on s'adressait à lui sous une variante de Höwelke. Jean-Baptiste Joseph Delambre, Histoire de l'astronomie moderne, t. 2, livre 13, Courcier, 1821, p. 435
Lambrecht, p. 2. (de) H. Lambrecht, Introduction (p. 1–15) à la reproduction du vol. 1 (1673) de Machina coelestis réalisée par le Zentralantiquariat der DDR, Leipzig, 1973
La première partie est une biographie, la seconde une présentation des instruments fabriqués par Hevelius.
Lambrecht, p. 1. (de) H. Lambrecht, Introduction (p. 1–15) à la reproduction du vol. 1 (1673) de Machina coelestis réalisée par le Zentralantiquariat der DDR, Leipzig, 1973
La première partie est une biographie, la seconde une présentation des instruments fabriqués par Hevelius.
Boulliaud est moins connu pour ses relations avec Hevelius que pour sa correspondance, qui tient en cinq volumes manuscrits, avec la reine Louise-Marie de Gonzague (Aubert de Vitry, « Boulliaud (Ismael) », p. 546, dans William Duckett, Dictionnaire de la conversation et de la lecture, Firmin-Didot, 1867).
Lambrecht, p. 3. (de) H. Lambrecht, Introduction (p. 1–15) à la reproduction du vol. 1 (1673) de Machina coelestis réalisée par le Zentralantiquariat der DDR, Leipzig, 1973
La première partie est une biographie, la seconde une présentation des instruments fabriqués par Hevelius.
Illustration de Machina coelestis. La légende n'est pas d'époque. Machina coelestis :
(la) Hevelius, Epistola ad amicum de cometa anno 1677 Gedani observato (Lettre à un ami au sujet de la comète observée en 1677 à Dantzig). Ou fac-similé de même titre avec traduction en polonais et résumés en anglais, russe, français et allemand : Państwowe Wydawn. Naukowe, 1969.
Voir (en) Seymour L. Chapin, « Early ideas about comets 1650–1700 », Astronomical Society of the Pacific Leaflets, vol. 6, no 278, , p. 221 (lire en ligne) — Travail d'étudiant.
« Dans une lettre adressée à Adam Kochański (Adamandus), en date du , il se dit lui-même : « civis Orbis Poloni, qui in honorem patriae suae, rei litterariae bono, tot labores molestiasque perduravit » (citoyen du monde polonais qui, pour l'honneur de sa patrie, pour le bien des lettres, a supporté travaux et désagréments). » Source : Aleksander Birkenmajer(en), « Coup d’œil sur l'histoire des sciences exactes en Pologne », dans Studia CopernicanaIV (revue de l'Académie polonaise des sciences), Ossolineum, p. 15 (p. 27 de l'édition numérique). (Birkenmajer précise que Coup d'œil a été écrit en collaboration avec Samuel Dickstein.) La référence donnée par Birkenmajer est : « Correspondance inédite de Hevelius (à la Bibliothèque Nationale de Paris), vol. XIV, p. 234. — Voir aussi les lettres de Hevelius à Des Noyers, du 18 décembre 1660 et du 28 mai 1674 (ibid., vol. IV, p. 225, vol. XI, p. 283). ».
« Dans une lettre adressée à Adam Kochański (Adamandus), en date du , il se dit lui-même : « civis Orbis Poloni, qui in honorem patriae suae, rei litterariae bono, tot labores molestiasque perduravit » (citoyen du monde polonais qui, pour l'honneur de sa patrie, pour le bien des lettres, a supporté travaux et désagréments). » Source : Aleksander Birkenmajer(en), « Coup d’œil sur l'histoire des sciences exactes en Pologne », dans Studia CopernicanaIV (revue de l'Académie polonaise des sciences), Ossolineum, p. 15 (p. 27 de l'édition numérique). (Birkenmajer précise que Coup d'œil a été écrit en collaboration avec Samuel Dickstein.) La référence donnée par Birkenmajer est : « Correspondance inédite de Hevelius (à la Bibliothèque Nationale de Paris), vol. XIV, p. 234. — Voir aussi les lettres de Hevelius à Des Noyers, du 18 décembre 1660 et du 28 mai 1674 (ibid., vol. IV, p. 225, vol. XI, p. 283). ».