Portrait original. Le portrait était un cadeau du modèle lui-même à la Royal Society ; Pringle ne consentit pas à ce que la Société, qui voulait son portrait, ait à payer pour : site de la Royal Society.
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« [U]n des plus fameux professeurs en médecine de l'université d'Édimbourg » : Bayle. A. L. J. Bayle et Auguste Thillaye, « Pringle (Jean) », dans Biographie médicale par ordre chronologique : d'après Daniel Leclerc, Éloy, etc…, t. 2, Paris, Adolphe Delahays, 1855, p. 342
« Ces lettres furent publiées à la hâte à l'occasion de la maladie contagieuse qui enleva quelques-uns des magistrats de Londres qui avaient tenu les assises du mois de mai 1750. Cette maladie tirait son origine de Newgate, prison qui a le désavantage de recevoir, de toutes les autres, les criminels qu'on y conduit dans le temps des assises. L'air renfermé, l'humidité et la malpropreté du lieu et de ceux qui l'occupent, rendent comme impossible d'y éviter un mal qui se communique si aisément. Cette fièvre des prisons a tant de rapport avec la fièvre pestilentielle des hôpitaux, qui cause de si grands ravages dans les armées, que M. Pringle n'a pas voulu priver ses lecteurs des observations qu'il avait publiées dans sa lettre sur ce sujet. Il les a donc refondues, et après y avoir fait les changements et les corrections qu'il a crues nécessaires pour les perfectionner, il en a fait un chapitre à part qu'il a inséré dans un ouvrage intitulé : Observations on the disease of the army in camp and garnison [sic], Londres, 1752 » : Bayle. A. L. J. Bayle et Auguste Thillaye, « Pringle (Jean) », dans Biographie médicale par ordre chronologique : d'après Daniel Leclerc, Éloy, etc…, t. 2, Paris, Adolphe Delahays, 1855, p. 342
Éloge, p. 58. Nous avons introduit les caractères gras. L'orthographe, comme en général dans cet article, en français et en anglais, a été modernisée. Félix Vicq d'Azyr, « Éloge de M. Pringle », dans Histoire de l’Académie royale des sciences, année 1782, Paris, 1785, p. 57–68
« This agreement was strictly observed on both sides all that campaign ; and tho' it has been since neglected, yet we may hope, that on future occasions, the contending parties will make it a precedent. » Cité d'après la deuxième édition, 1753, p. ix.
« [S]ur la septième anglaise » : Bayle. A. L. J. Bayle et Auguste Thillaye, « Pringle (Jean) », dans Biographie médicale par ordre chronologique : d'après Daniel Leclerc, Éloy, etc…, t. 2, Paris, Adolphe Delahays, 1855, p. 342
« The cause seems plainly to arise from a corruption of the air, pent up and deprived of its elastic parts by the respiration of a multitude ; or more particularly vitiated with the perspirable matter, which, as it is the most volatile part of the humours, is also the most putrescent.
As soon as I became acquainted with this fever in the hospitals abroad, I suspected it to be the same with what is called here the jayl-distemper, which I had never seen. »Observations on the nature and cure of hospital and jayl fevers, p. 4.
Portrait original. Le portrait était un cadeau du modèle lui-même à la Royal Society ; Pringle ne consentit pas à ce que la Société, qui voulait son portrait, ait à payer pour : site de la Royal Society.
Pringle fut enterré à l'église St James, rue Piccadilly, à Londres (« Sir John Pringle ») ; sa tombe a été détruite par les bombardements de la Deuxième Guerre.