« Joseph Schmidt [..., one of the most celebrated tenors of the 1920s and 1930s, once dubbed "the Jewish Caruso," captivated audiences in Germany and throughout Europe with his singing for a decade -- he was unable to appear on the operatic stage, however, as a result of his diminutive stature, not even five feet in height (he was called "the pocket Caruso" on one American tour). »
(de) Berliner Volksbank: Einweihung der Gedenktafel für Joseph Schmidt, Joseph Schmidt, Davideny bei Storoźynetz/Bukowina (heute Rumänien), 4.3.1904 - Girenbad b. Hinwil/Schweiz 16.11.1942, (lire en ligne)
« Live Performance. Concert of 1937 with Grace Moore. La Bohème: Che gelida manina; ... Schmidt made a concert tour of America in 1936-7 (he gave a Carnegie Hall recital on New Years Eve with Erna Sack) and probably appeared with Grace Moore and other guest artists on the popular radio programs of the time. »
hamburg.de
(de) Bettina Bermbach, „Stolpersteine“ vor der Staatsoper erinnern an Künstler und Musiker [« Les « pierres d'achoppement » placées devant l'Opéra national rendent hommage aux artistes et musiciens persécutés par l'Allemagne nazie »], Offizielles Stadtportal für Hamburg, Staatsoper Hamburg, (lire en ligne)
« De nouvelles « pierres d'achoppement[N 3] » rappellent le sort des artistes persécutés ayant œuvré pour le compte de l'opéra de Hambourg. Elles sont respectivement dédiées au choriste Abraham Salnik mort en 1941 dans le ghetto de Riga, à la soprano Camilla Fuchs et la mezzosoprano Ottilie Metzger-Lattermann assassinée à Auschwitz en 1943, au chef d'atelier Jacob Kaufmann[21], au Dr Max Fraenkel, au chef d'orchestre et compositeur Gustav Brecher, aux choristes Mauritz Kapper et Bruno Wolf. Les pierres rendent également hommage à la contralto Magda Spiegel, au compositeur et chef d'orchestre Viktor Ullmann, au chef d'orchestre Hermann Frehse ainsi qu'au ténor Joseph Schmidt. À une exception près, tous les noms susmentionnés ont été persécutés et déportés par le nazisme en raison de leur ascendance juive, hormis le chef d'orchestre Herman Freshe pour cause alléguée d'homosexualité. La première Stolperstein[N 3] a été posée il y a 10 ans par l'artiste berlinois Gunter Demnig, essaimant dans toute l'Allemagne plus de 11.000 plaques d'airain remémorant les victimes du nazisme. À ce jour, près de 1.700 pierres ont déjà été apposées dans la ville de Hambourg[trad 12]. »
hinwil.ch
(de) Der Tenorsänger Joseph Schmidt stirbt in Girenbad in 1942, Gemeinde Hinwil (lire en ligne)
« Joseph Schmidt starb am Montag, 16.11.1942, 11.10 Uhr auf dem Sofa im Restaurant Waldegg in Girenbad. Er ist im Israelitischen Friedhof in Zürich, Grab Nr. 2231, beigesetzt. »
historyofthetenor.com
Sydney Rhys Barker et al., History of the tenor, The Tenor, , the History of the Tenor is an archive of the greatest Operatic Tenors including narration and sound clips from 1900 until 1990 (lire en ligne), « Joseph Schmidt »
« Josef Schmidt […] was born in Davideny (Ukrainian: Davydivka), a small town in the Bukovina province of Austria-Hungary, later Romania and now part of Ukraine. »
imdb.com
(en) « Ein Stern fällt vom Himmel (1934) », IMDb, Autriche, (résumé, lire en ligne)
josephschmidt-archiv.com
Alfred Fassbind, biographe et curateur des archives Joseph Schmidt (trad. de l'allemand par François Lilienfeld), Joseph Schmidt (1904-1942) – sa vie, ses succès [« Joseph Schmidt: Sein Leben, seine Erfolge »], Joseph Schmidt-Archiv (lire en ligne)
(de) Alfred Fassbind, Die wichtigsten Daten, Joseph Schmidt-Archiv (lire en ligne)
(de) Susi Hofmann, « Sein Lied ging um die Welt: Joseph Schmidt », Dürntner« Alfred Fassbind verfasste eine neue Biografie des ehemals weltberühmten Tenors », no 70, , p. 28-29 (lire en ligne [PDF])
« Im Schweizer Exil gestorben: Joseph Schmidts Leben endete in nächster Umgebung, im Restaurant Waldegg in Girenbad. »
(de) Alfred Fassbind, « Vor 70 Jahren, erst 38-jährig, in Girenbad gestorben: Joseph Schmidt – sein Leben, seine Erfolge » [« Joseph Schmidt, son destin, ses succès : il y a 70 ans, la vie du ténor bascule et il meurt précocement à l'âge de 38 ans dans le camp de travail forcé de Girenbad(sv) »], Top Hiwil, (lire en ligne [PDF])
juden.at
david.juden.at
(de) Diana Carmen Albu, « Joseph Schmidt », David(de) : Jüdische Kulturzeitschrift« Ein Porträt des "Rundfunk-Caruso" », (lire en ligne)
« Am 4. März, anlässlich des 100. Geburtstages von Joseph Schmidt fand im Rathaus von Köpenick ein Festakt statt. Die Musikschule des Bezirks Treptow-Köpenick erhielt dabei den Namen "Musikschule Joseph Schmidt". Das Haupt des rumänischen Kammersängers und Kantors ziert die von der Deutschen Post am 4. März herausgegebene Sonderbriefmarke im Wert von 55 Cent. Das Filmhaus am Potsdamer Platz zeigte den 1933 von Richard Oswald produzierten Streifen "Ein Lied geht um die Welt", durch den Joseph Schmidt einst Berühmtheit erlangt hatte. »
(de) Eva Acker, Erika Draeger (ill. Gesche Cordes), « Jakob Kaufmann * 1870 Dammtorstraße 28 (Oper) (Hamburg-Mitte, Neustadt) 1942 Theresienstadt ermordet 08.02.1943 », Stolpersteine Hamburg, Landeszentrale für politische Bildung Hamburg(de), (lire en ligne [The stumbling stone pictured above was laid on March 29th, 2005 and thus became the 1000th Stumbling Stone in Hamburg])
« Quellen: 1; 3; 4; 5; 8; StaHH 351-11, AfW, Abl. 2008/1, 25.04.04 Acker, Lissi; StaH, 621-1/85, 71, Konsulentenakte; Interview mit Lissi Acker, Dez. 1990, Geschichtswerkstatt Barmbek; Private Familienunterlagen; Wamser/ Weinke: Eine verschwundene Welt, S. 236; IGDJ: Das Jüdische Hamburg, S.131, S.144; Meyer: Die Verfolgung und Ermordung der Hamburger Juden, S. 29, S. 51, S. 68ff, S. 206. »
unistra.fr
Colloque Eucor La Semi-Asie et la France : l'Est européen vécu et imaginé dans la littérature et l'histoire, université de Strasbourg, 29-30 mars 2012, organisé par Charlotte Krauss, Ariane Lüthi, Genviève Humbert-Knittel (lire en ligne)
wider-des-vergessens.org
(de) Rena Jacob, Joseph Schmidt • Großer kleiner Mann [« Joseph Schmidt, un grand homme en dépit de sa petite taille »], Wider des Vergessens [« N'oublions jamais ! »], 2010-2016 (lire en ligne), « Zum Todestag eines großen Talents • Opfer des Rassenwahns [« mort d'un immense talent victime collatérale de préjugés raciaux antisémites ciblant une époque cruciale et douloureuse de notre histoire »] »
wikipedia.org
de.wikipedia.org
(de) Diana Carmen Albu, « Joseph Schmidt », David(de) : Jüdische Kulturzeitschrift« Ein Porträt des "Rundfunk-Caruso" », (lire en ligne)
« Am 4. März, anlässlich des 100. Geburtstages von Joseph Schmidt fand im Rathaus von Köpenick ein Festakt statt. Die Musikschule des Bezirks Treptow-Köpenick erhielt dabei den Namen "Musikschule Joseph Schmidt". Das Haupt des rumänischen Kammersängers und Kantors ziert die von der Deutschen Post am 4. März herausgegebene Sonderbriefmarke im Wert von 55 Cent. Das Filmhaus am Potsdamer Platz zeigte den 1933 von Richard Oswald produzierten Streifen "Ein Lied geht um die Welt", durch den Joseph Schmidt einst Berühmtheit erlangt hatte. »
(de) Eva Acker, Erika Draeger (ill. Gesche Cordes), « Jakob Kaufmann * 1870 Dammtorstraße 28 (Oper) (Hamburg-Mitte, Neustadt) 1942 Theresienstadt ermordet 08.02.1943 », Stolpersteine Hamburg, Landeszentrale für politische Bildung Hamburg(de), (lire en ligne [The stumbling stone pictured above was laid on March 29th, 2005 and thus became the 1000th Stumbling Stone in Hamburg])
« Quellen: 1; 3; 4; 5; 8; StaHH 351-11, AfW, Abl. 2008/1, 25.04.04 Acker, Lissi; StaH, 621-1/85, 71, Konsulentenakte; Interview mit Lissi Acker, Dez. 1990, Geschichtswerkstatt Barmbek; Private Familienunterlagen; Wamser/ Weinke: Eine verschwundene Welt, S. 236; IGDJ: Das Jüdische Hamburg, S.131, S.144; Meyer: Die Verfolgung und Ermordung der Hamburger Juden, S. 29, S. 51, S. 68ff, S. 206. »
« Live Performance. Concert of 1937 with Grace Moore. La Bohème: Che gelida manina; ... Schmidt made a concert tour of America in 1936-7 (he gave a Carnegie Hall recital on New Years Eve with Erna Sack) and probably appeared with Grace Moore and other guest artists on the popular radio programs of the time. »
[Joseph Schmidt] « “The Jewish Caruso” was another singer whose fame was dashed by the Holocaust. »
ro.wikipedia.org
La Bucovine appartient à l'époque à une terre de la Couronne indépendante de la confédération relevant de la k.u.k. Armee[trad 1],[trad 2]. Charlotte Krauss, Ariane Lüthi et Geneviève Humbert-Knittel précisent à ce sujet que « Karl Emil Franzos parlait de « Semi-Asie » en évoquant sa région natale partagée, au XIXe siècle comme aujourd’hui, entre différents pays de l’Est européen : Galicie, Bucovine, ou alors Roumanie, Pologne, Ukraine. Carrefour de cultures et de langues diverses, cet espace a aussi entretenu des liens visibles et invisibles avec la France – ce qui, jusqu’ici, est plutôt passé inaperçu dans le monde de la recherche. Ainsi, tout au long du XIXe et du XXe siècle, la langue et la culture française y servaient de référence, parallèlement à l’allemand. Par ailleurs, la France – Paris, mais aussi l’Alsace – a joué un rôle décisif en tant que destination touristique rêvée ou vécue, pays d’accueil transitoire ou définitif pour de nombreux intellectuels en provenance de Lvov, Czernowitz, Brody et tant d’autres lieux. Que l’on pense à Joseph Roth, Manès Sperber, Soma Morgenstern ou encore au ténor Joseph Schmidt[5] » dont le lieu de naissance de naissance se situe aux alentours de la capitale historique nommée Tchernivtsi. Les Ukrainiens et les Roumains y cohabitent en harmonie. La proportion de la population d'origine juive s'y avère relativement importante. Ses représentants sont d'ailleurs considérés comme porteurs de la culture allemande. La ville de Tchernivtsi et la Bucovine ont vu naître plusieurs écrivains majeurs des 19e et 20e siècles. Citons notamment Alfred Margul-Sperber(ro) (1898-1967), Rose Ausländer (1901 à 1988) et Paul Celan (1920-1970)[2],[trad 3].
sv.wikipedia.org
(de) Alfred Fassbind, « Vor 70 Jahren, erst 38-jährig, in Girenbad gestorben: Joseph Schmidt – sein Leben, seine Erfolge » [« Joseph Schmidt, son destin, ses succès : il y a 70 ans, la vie du ténor bascule et il meurt précocement à l'âge de 38 ans dans le camp de travail forcé de Girenbad(sv) »], Top Hiwil, (lire en ligne [PDF])