Anna Schoellkopf, Don José de San Martin, 1778-1850, Boni and Liveright, (lire en ligne), p. 17.
Anna Schoellkopf, Don José de San Martin, 1778-1850, Boni and Liveright, (lire en ligne), p. 18.
Anna Schoellkopf, Don José de San Martin, 1778-1850, Boni and Liveright, (lire en ligne), p. 19.
lavoixdunord.fr
Christian Canivez (photogr. Sébastien Jarry), « La Casa San Martin, le refuge boulonnais du « Libertador » », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
Le Pérou est, à la fin du conflit, débiteur du Chili, « pour trois millions de pesos », de la Colombie, de l’Équateur et du Venezuela « pour cinq millions de pesos », des États-Unis, « pour trois cent mille pesos », et doit verser 600.000 pesos par an d’intérêts à l’Angleterre, Capitalisme agraire au Pérou. Premier volume. Chapitre IV. L’indépendance du Pérou et le programme agraire libéral des “libertadores”, Jean Piel [1]
tourisme-boulognesurmer.com
Casa San Martín sur le site de l'office de tourisme de Boulogne-sur-Mer, consulté le 29 juin 2015.