(en) « In 1925, the year Gatsby was published, Josephine Baker—who, like many women blues singers of the day, was known to be bisexual—expatriated to Paris, which offered greater racial and sexual emancipation than the United States (Smith 198). », dans Jordan Baker, Gender Dissent, and Homosexual Passing in The Great Gatsby par Maggie Gordon Froehlich, université d'État de Pennsylvanie (lire en ligne).
actu.fr
« Le premier musée au monde consacré à Joséphine Baker, bientôt à Souillac ? », La Vie Quercynoise, (lire en ligne).
Brian B. Baker et Gilles Trichard, Joséphine Baker : le regard d'un fils, Paris, Patrick Robin Éditions, , 189 p. (ISBN2-35228-005-2, BNF40167396), p. 18.
Xavier de La Porte, « « Même désir de goûter à l’existence » : le coup de foudre de Georges Simenon et Joséphine Baker », L'Obs, (lire en ligne, consulté le ).
« Joséphine Baker en 5 citations inspirantes », sur Vogue Paris (consulté le ); plusieurs développements sur ces questions dans Dominique Chathuant, Nous qui ne cultivons pas le préjugé de race. Histoire(s) d'un siècle de doute sur le racisme en France, Paris, Le Félin, 2021, p. 15-20, 23, 38, 46, 65, 67, 69, 71-74, 85-89, 94, 111, 114, 116, sq. et index.
Jean-Claude Baker(en) (1943-2015)[108],[112] ne doit pas être confondu avec l'enfant adoptif de Joséphine Baker, Jean-Claude Bouillon-Baker, toujours vivant[113].