(en) Gregorio del Olmo Lete et Joaquín Sanmartín, A Dictionary of the Ugaritic Language in the Alphabetic Tradition (2 vols): Third Revised Edition, BRILL, (ISBN978-90-04-28865-2, lire en ligne), p. 580–581
Élisabeth Marteu et Pierre Renno, « L'identité israélienne à l'heure des mobilisations communautaires », Critique internationale, vol. 56, no 3, , p. 117-138 (lire en ligne)
Joëlle Marelli, « Les juifs-arabes et la question de Palestine », Vacarme, vol. 32, no 3, , p. 116-119 (lire en ligne)
Zrehen Richard, « Le Shas : une révolution culturelle et politique », Outre-Terre, vol. 9, no 4, (lire en ligne)
Entretien avec Yaacov Loupo, chercheur à la Fondation de Jérusalem, Comment les Séfarades sont devenus Ashkénazes et le restent au sein du courant ultra-orthodoxe en Israël, dans le magazine LVS, Dossier spécial "Être Séfarade en Israël", p. 44, lire en ligne : [6]
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Michel Lachkar, Des communautés juives enracinées en Afrique noire depuis plus de 2 000 ans, sur Afrique-France Télévisions du 26 mai 2019 [1].
Uri Ram, "Hebrew Culture in Israel", dans Handbook of Israel: Major Debates publié par Eliezer Ben-Rafael, Julius H. Schoeps, Yitzhak Sternberg, Olaf Glöckner, p. 67, lire en ligne : [5]
Amnon Raz-Krakotzkin, Exil et souveraineté: judaïsme, sionisme et pensée binationale, Préface par Carlo Ginzburg, La Fabrique, 2007, lire en ligne : [8]
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Smooha, Sammy. 2006. "Les Sepharades dans la Société. Israelienne: Histoire Sociologique et Politique" . Le Monde Sepharade. II. Civilisation, edited by Shmuel. Trigano, lire en ligne, p. 792 :[7]
Voir également Alex Weingrod, "Ehud Barak's Apology: Letters from the Israeli Press", Israel Studies, Vol. 3, No. 2, Law and the Transformation of Israeli Society (Fall, 1998), p. 238-252 : Ehud Barak s'est adressé aux juifs originaires du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord pour leur demander de pardonner ce que le Parti travailliste a fait subir aux nouveaux arrivants pendant les années 1950, https://www.jstor.org/stable/30245720.
"The term “Mizrahi” [...] is an Israeli-made term, designed originally to mark the difference, and by implication the backwardness, of “Oriental (Mizrahi)” Jews. Recently, this term has resurfaced as a more positive locus around which Mizrahi identities are formed anew", Oren Yiftachel and Erez Tzfadia, "Between Periphery and ‘Third Space’:Identity of Mizrahim in Israel’s Development Towns", 2004, p. 221, lire en ligne : [2]
revues.org
yod.revues.org
En Israël, "les immigrants juifs originaires des pays arabes et/ou musulmans sont considérés comme une masse indifférenciée, avec des dénominations comme ‘edot ha-mizrah (les communautés de l’Orient), sfaradim, mizra’him (orientaux), puis yehudim ‘aravim (juifs-arabes). Aucune d’entre elles ne correspond vraiment à la réalité. Si l’on a recours à l’une ou l’autre de ces expressions, on met dans un même panier tous les immigrants de ces pays en laissant entendre que leur histoire et leur manière de vivre sont les mêmes. Or nous nous trouvons en présence de cultures foncièrement différentes, issues des réalités vécues dans chacun des pays", Rina Cohen Muller, « À la recherche du Levant perdu : des écrivains d’Israël racontent l’Égypte », Yod [En ligne], 14 | 2009, mis en ligne le 31 octobre 2011, consulté le 27 novembre 2017. URL : http://yod.revues.org/362 ; DOI : 10.4000/yod.362