Gustave Vapereau, Dictionnaire universel des contemporains : contenant toutes les personnes notables de la France et des pays étrangers, Paris, L. Hachette, , 3e éd., x-1862, 1 vol. 26 cm (lire en ligne), p. 1336.
Le Radical rapporte que le lendemain même de l'enterrement de Noriac, un juge de paix du neuvième arrondissement, s’est présenté au domicile du défunt, pour poser les scellés, en vertu d'une demande faite par une dame X..., ouvrière tisseuse se disant sa fille légitime, en produisant un extrait de naissance constatant qu'elle son enregistrement sur les livres de l'état civil de l'ancien onzième arrondissement comme fille légitime de M. Cayron. « La succession… », Le Radical, 2e série, no 282, , p. 2 (lire en ligne sur Gallica).