La Nouvelle Revue, Paris, 1879-1935 (lire en ligne).
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Pour la correspondance entre J. Adam et J.-V. Daubié, voir Raymonde A. Bulger (éd.), Lettres à Julie-Victoire Daubié, New York, Peter Lang, , 329 p. (ISBN978-0-8204-1621-2, lire en ligne).
Juliette Adam est née d'Olympe Seron et de Jean-Louis Lambert, médecin. Avant d'opter pour Adam, le nom de son second mari, elle choisit comme nom de plume son propre nom de famille légèrement modifié : Lamber (sans t). La confusion est facile et fréquente entre ce premier pseudonyme (Lamber) et son nom de naissance (Lambert). Mais les travaux de Saad Morcos, et ceux d'Anne Hogenhuis-Seliverstoff, Juliette Adam (1836-1936) : L'instigatrice, p. 11 et sqq. (consulté le 28 décembre 2010), font autorité : la filiation de Juliette et donc l'orthographe de son patronyme ne peuvent être mis en doute.
Corine Defrance, « Anne Hogenhuis-Seliverstoff, Juliette Adam (1836-1936), L’Instigatrice. L’Harmattan, 2001 », Revue d'Allemagne et des pays de langue allemande, vol. 34, no 3, , p. 420–421 (lire en ligne, consulté le )