Kanji (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Kanji" in French language version.

refsWebsite
Global rank French rank
1,070th place
6,475th place
low place
low place
2,065th place
low place
low place
low place

bunka.go.jp

  • (ja) Cf. le document [PDF] 同音の漢字による書きかえ.
  • (ja) Cf. les directives officielles 送り仮名の付け方.
  • (ja) Cf. rapport du 22e Conseil de la Langue japonaise (国語審議会) sur la « Table des formes des kanjis hors-liste » (表外漢字字体表), paragraphe Ⅱ 字体表, point 6.
  • (ja) Cf. japonais いわゆる康熙字典体 (iwayuru kōkijitentai?). Une définition de ce terme est donnée dans le rapport du 22e Conseil de la Langue japonaise (国語審議会) sur la « Table des formes des kanjis hors-liste » (表外漢字字体表), paragraphe Ⅰ 前文 表外漢字字体表作成に当たっての基本的な考え方.
  • (ja) La liste des kanjis standard (標準漢字表, hyōjun kanji hyō?) de 1942 se divise en 1 134 kanjis d'usage courant, 1 320 kanjis d'usage quasi-courant et 74 kanjis spéciaux pour des termes spécifiques trouvés dans la Constitution de l'Empire ou la loi de la maison impériale. Cf. [PDF] document original.
  • (ja) Cf. la compilation de documents originaux [PDF] 国語施策沿革資料.
  • (ja) Le rapport du Conseil de la Langue japonaise (国語審議会) de 1948 auquel se réfère le décret de 1949 montre les formes (ossatures) des tōyō kanji dont l'usage sera commun tant pour les caractères d'imprimerie (styles minchōtai et dérivés) que pour l'écriture manuscrite (style régulier) ; le rapport mentionne néanmoins qu'il continuera d'y avoir parfois des différences entre les représentations imprimées et habitudes manuscrites (ces différences de design ne remettant pas en question l'unicité des ossatures des tōyō kanji).
  • (ja) Tsūyō jitai, littéralement « formes ayant cours », est un terme qui fut officiellement consacré en 1981 dans la Table des jōyō kanji (常用漢字表), au paragraphe 表の見方及び使い方. Voir aussi Agence pour les Affaires culturelles, p. 9 et 212.
  • (ja) Les 22 variantes dites 簡易慣用字体 (kan'i kan'yō jitai?, formes d'usage simples) sont des alternatives officiellement reconnues, en principe plus simples que les formes standard, comme pour , ou pour . Au-delà de ces 22 caractères, d'autres formes, impliquant les parties , et , sont « tolérées », au sens où la norme indique que l'on peut les employer faute de mieux ; toutefois, celles-ci ne sont plus incluses dans le jeu de caractères JIS X 0213 et les polices ordinaires — voir le rapport du 22e Conseil de la Langue japonaise (国語審議会) sur la « Table des formes des kanjis hors-liste » (表外漢字字体表), paragraphe Ⅱ 字体表, point 5.
  • (ja) Cf. le rapport du Conseil de la Culture (文化審議会) [PDF] 改定常用漢字表.
  • (ja) Cf. rapport du 22e Conseil de la Langue japonaise (国語審議会) sur la « Table des formes des kanjis hors-liste » (表外漢字字体表), paragraphe Ⅰ 前文 対象とする表外漢字の選定について.

kangxizidian.com

mext.go.jp

  • (ja) Le manuel pour l'instruction de l'ordre des traits (筆順指導の手びき) est un standard toujours utilisé de nos jours bien qu'il n'en soit plus fait officiellement mention dans la « Norme des manuels scolaires autorisés pour l'enseignement obligatoire » de 2014 (義務教育諸学校教科用図書検定基準, ministère de l'Éducation, de la Culture, des Sports, des Sciences et de la Technologie, paragraphe 国語科「書写」, partie 1, point 4 : « 漢字の筆順は、原則として一般に通用している常識的なものによっており、行書で筆順が異なる字については、適切な説明を加えていること »).

wikipedia.org

en.wikipedia.org

  • (ja) Dictionnaire Daijisen, éditions Shōgakukan : une more, en japonais モーラ (mōra) ou (haku), est une unité de durée abondamment utilisée dans le cadre de la phonologie du japonais. Ce concept, analogue à celui du temps en musique, désigne également les sons du japonais qui ont précisément cette longueur. Par exemple, e, mu, shi, bya sont des mores. Conceptuellement, les mores diffèrent des syllabes, qui désignent des unités de langage interprétées comme des sons ininterrompus mais dont les durées ne sont pas nécessairement égales entre elles. Le japonais dispose notamment de la distinction entre les syllables longues et courtes, contenant respectivement des voyelles longues et courtes. Par exemple, la ville de Takamatsu et la préfecture de Tōkyō ont respectivement quatre (ta.ka.ma.tsu) et deux syllables (tō.kyō), mais sont toutes deux composées de quatre mores : /ta‧ka‧ma‧tu/ et /to‧R‧kyo‧R/, où /R/ indique l'allongement d'une voyelle. La durée nécessaire pour vocaliser Tōkyō sera voisine de celle pour vocaliser Takamatsu. On peut noter au passage qu'il est plus précis de dire que chaque kana (hiragana ou katakana) représente une more, plutôt qu'une syllable ; une exception notable est constituée des mores dites yōon (en), qui s'écrivent avec un digramme de deux kanas. Il est donc plus exact de qualifier les kanas de « signes moraïques » plutôt que de syllabaires, même si cette dernière appellation est de loin la plus commune.