Joel Beinin, The Dispersion of Egyptian Jewry - Culture, Politics, and the Formation of a Modern Diaspora, 1998, University of California Press, chapitre The San Francisco and Daly City Synagogues. Voir une version intégrale du livre, sans la pagination originelle.
Voir l'article de Isidore Singer et Isaac Broydé, sur Mordecai ben Nissan ha-Zaken et sa réponse (dans son livre Dod Mordekai) à la quatrième question de 1698 posée par Jacob Trugland, question portant sur les livres saints karaïtes. Jewish Encyclopedia, 1901-1906.
A. Moreau, « En Pologne à Troki, Chez le Hachan des Karaïmes », Revue Bleue, 6 juin 1936, p.392, cité par Warren Paul Green, « The Karaite Passage in A. Anatoli's Babi Yar », East European Quarterly 12,3 (1978) p. 283–287. Voir aussi « Karaites in the Holocaust ? A Case of Mistaken Identity », Nehemia Gordon, sur le site karaïte karaite-korner.org, consulté le 17/08/2007.
Repris par S. Firkowicz dans Die Karaimen in Polen, Berlin, 1941, p.2, cité par Warren Paul Green, « The Karaite Passage in A. Anatoli's Babi Yar », East European Quarterly 12,3 (1978) pp.283–287. Voir aussi « Karaites in the Holocaust ? A Case of Mistaken Identity », Nehemia Gordon, sur le site karaïte karaite-korner.org, consulté le 17/08/2007.
Les interprétations rabbiniques peuvent être acceptées, mais seulement comme une interprétation humaine susceptible d'erreur. Voir par exemple un point de vue en français sur le site de l'association Karaite jews of America: Corrections d’un Article Contenant des Erreurs et des Préjugés sur la Communauté Juive Karaïte. [PDF] (consulté le 07/09/2007) : « Les karaïtes acceptent que la Mishna et La Gémara sont des œuvres achevées par des rabbins érudits, mais qui sont quand même des êtres humains faillibles ».
Frédéric Abécassis et Jean-François Faü, « Les Karaïtes. Une communauté cairote à l'heure de l'État-nation », Égypte/Monde arabe,Première série, 11 | 1992, mis en ligne le 08 juillet 2008, consulté le 18 septembre 2017. URL : http://ema.revues.org/307 ; DOI : 10.4000/ema.307
« Les chefs de famille de tout le peuple, les sacrificateurs et les Lévites, s’assemblèrent auprès d’Esdras, le scribe, pour entendre l’explication des paroles de la loi. Et ils trouvèrent écrit dans la loi que l’Éternel avait prescrite par Moïse, que les enfants d’Israël devaient habiter sous des tentes pendant la fête du septième mois […]. Depuis le temps de Josué, fils de Nun, jusqu’à ce jour, les enfants d’Israël n’avaient rien fait de pareil » - Néhémie 8:13-17.
« Moïse reçut Torah au Sinaï, et la transmit à Josué, et Josué la transmit aux Anciens […] » - Pirke Avot 1:1.
« Lorsque Daniel sut que le décret était écrit, il se retira dans sa maison, où les fenêtres de la chambre supérieure étaient ouvertes dans la direction de Jérusalem ; et trois fois le jour il se mettait à genoux, il priait, et il louait son Dieu, comme il le faisait auparavant » - Daniel 6:10, version de Louis Segond (1910).