Pone, « KATE AND ME », sur kateandme.73bpm.com, : « C’est pour moi la plus grande artiste de ces 40 dernières années. Je voulais faire quelque chose, un album ou peu importe, mais je voulais que ce soit cohérent, avec un axe. Vu que j’avais une trentaine de prods avec des samples de Kate Bush, l’idée a commencé à germer. ».
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(en) Bruce Eder, « Kate Bush », sur allmusic.com : « Bush's music was an ambitious and idiosyncratic melange of folk rock, art rock, prog, and pop, often performed with the bold brio of a West End stage production, and her lyrics were artful meditations full of drama, fantasy, danger, and a sense of wonder at the human and natural worlds. ».
(en) Fraser McAlpine, « Kate Bush Takes Her CBE From The Queen », sur bbcamerica.com, BBC Worldwide Americas Inc, (consulté le ), There’s Kate Bush, there’s the Queen (...)And even when you know that Kate is receiving her CBE for services to the music industry (...).
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David SICÉ, « Les critiques de Bifrost », sur belial.fr, : « Exploitant la veine rare du Merveilleux Victorien, Délius (inspiré d'une chanson de Kate Bush extraite de l'album Never for Ever et de plusieurs poèmes anglais) croise une enquête à la Sherlock Holmes avec l'album des Fées Séchées de Lady Cottington et une version parfumée du mythe de Jack l'Éventreur. ».
« « Before The Dawn » : la dernière folie de Kate Bush », sur canalplus.fr, (consulté le ) : « Un spectacle total, démesuré, excentrique, échappant à toute tentative de description et en complète rupture avec la narration type des concerts rock. ».
(en) « Coldplay Steal Drums From Kate Bush », sur contactmusic.com, (consulté le ) : « We were listening to a Kate Bush song called Running Up That Hill and we were really trying to recreate the drums on that song for this song, and the chords. ».
« Kate Bush – Director’s Cut », sur discordance.fr, (consulté le ) : « Las de ses apparitions publiques, de promos éprouvantes et souhaitant élargir ses champs d’action, la désormais nommée « Sorcière du son » crée son propre studio d’enregistrement au début des années 80. ».
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« "C'est assez bouleversant " : Kate Bush réagit au regain de popularité de son tube de 1985, en tête des charts britanniques », sur francetvinfo.fr, : « "C'est une si bonne série, j'avais pensé que le morceau attirerait un peu l'attention", a confié la chanteuse britannique de 63 ans dans une interview, diffusée mercredi 22 juin par la radio BBC. "Mais je n'avais jamais imaginé que ce serait quelque chose comme ça. C'est tellement excitant. C'est aussi assez bouleversant, vraiment. Je veux dire, le monde entier est devenu fou", a-t-elle ajouté. ».
(en) « KT Tunstall wants Kate Bush to win her brit », sur gigwise.com (consulté le ) : « It's got to be the Kate Bush award - even though I'm up against her. She's just a legend. I'm chuffed to be in the same category as her. ».
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(en) « Eberhard Weber Foreground music », sur innerviews.org, : « They checked every note—everything, everything, everything. The first tune took six to eight hours. The second one the same. It explained to me why these pop people take so long to produce their albums. They never decide right away what to do. So when I came up with some ideas they said “yes, yes, let’s record it to 48 tracks.” Then I’d have another idea and again, it would be “yes, yes, yes, let’s do it this way.” I recorded dozens of ideas and in the end, only one was accepted. These people have the attitude that it’s only later when they mix that they decide. ».
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(en) « FILM Dakota Johnson By Chrissie Hynde Photography Craig Mcdean », sur interviewmagazine.com, 04/26/16 (consulté le ) : « Fantastic, amazing. I saw two of the shows. Absolutely breathtaking. She has the perfect voice—her voice made people cry. And her presence, it was all there. ».
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(en) « Army Dreamers », sur katebushencyclopedia.com : « It's the first song I've ever written in the studio. It's not specifically about Ireland, it's just putting the case of a mother in these circumstances, how incredibly sad it is for her. How she feels she should have been able to prevent it. If she'd bought him a guitar when he asked for one. ».
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Sylvain Siclier, « Kate Bush, les frissons d'un rêve neigeux », sur lemonde.fr, (consulté le ) : « La chanteuse britannique publie "50 Words for Snow", un album impressionniste et envoûtant. ».
« Lara Fabian, enfant du rock », sur leparisien.fr, (consulté le ) : « Kate Bush, Wuthering Heights, sur un album culte. Sa voix, ses mots, les codes cachés dans ses chansons, elle a énormément influencé cet album. ».
Noémie Lecoq, « On y était : Kate Bush à Londres », sur lesinrocks.com, (consulté le ) : « l’une des plus grandes énigmes de la pop anglaise donne un aperçu de son imagination sans limite. ».
(en) Christophe Conte, « Kate Bush, ermite et légende », sur lesinrocks.com, (consulté le ) : « Et plus le cas Kate Bush s’épaississait, plus son influence continuait également de se répandre de façon évidente. ».
« Dans les rapides – Maylis de Kerangal », sur lesmotsdelafin.wordpress.com, (consulté le ) : « Mais le trio si soudé va voler en éclats lorsque l’une d’elles entendra Kate Bush, sa voix de cristal étrange et étonnante, son exubérance, ses longues robes à l’esprit romantique, ses pas de danseuse classique, une fille solide comme un roc, déterminée, cérébrale. ».
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« Trois raisons de (re)découvrir Kate Bush », sur lexpress.fr, (consulté le ) : « C'est une pionnière. En découvrant son premier disque, Wuthering Heights, en 1978, je me suis sentie moins seule. De l'autre côté de l'Océan, une femme osait, comme moi, s'imposer dans un monde d'hommes. Mon allure de garçon manqué pouvait passer dans le rock, mais Kate était un ovni : incroyablement forte et, en même temps, sensuelle. Ses textes étaient poétiques, provocateurs, ses musiques, expérimentales. ».
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Antoine Gailhanou, « DRÔLES D’INSTRUMENTS », sur next.liberation.fr, : « Et c’est justement cette alliance entre musique traditionnelle et modernité qui va guider la suite de la carrière de la chanteuse. ».
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Clément Giuliano, « Kate Bush, icône à part », sur medium.com, (consulté le ) : « le caractère très “visuel” de l’œuvre de Kate Bush, ainsi que la danse, omniprésente dans sa carrière depuis ses débuts, “sont pour beaucoup” dans le succès de la musicienne auprès du public homosexuel ».
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(en) JON PARELES, « Adele on Love, Fame, Ego and ‘25’ », sur nytimes.com, (consulté le ) : « Her whole show was about before her parenthood and then being a parent, and her kid was in it. I read somewhere, and I don’t know if it’s true or not, that [her son] said when he was 16, ‘I want to know now why everyone loves you.’ And it makes me so emotional. After that show, it was: ‘I don’t want to wait. I don’t want to wait till my kid is 16, I want to show him now.’ After that, I was: ‘I don’t care if no one wants me to make another [expletive] record. I’m making one for myself. ».
(en) Ron Moy, « A Daughter of Albion? Kate Bush and mythologies of Englishness », sur popular-musicology-online.com, (consulté le ), However, side two's song suite, taken as an entity, does encourage the listener to makes connections with that most English of genres — progressive rock.
(en) Ron Moy, « A Daughter of Albion? », sur popular-musicology-online.com, : « It never touched my heart... I would never say I was a strict follower of Roman Catholic belief, but a lot of the images are in there; they have to be, they're so strong. Such powerful, beautiful, passionate images! ».
« Première chaîne de télévision musicale, MTV a 40 ans », sur rts.ch, : « Voilà qui explique pourquoi durant les premières années d’existence de MTV, la majorité des artistes diffusés sont britanniques: Rod Stewart, Phil Collins, Iron Maiden ou Kate Bush d'abord, puis tous les gros noms de la pop synthétique anglaise comme A-Ha, Eurythmics, Duran Duran, Spandau Ballet, Ultravox, Visage, Bronski Beat, David Bowie, Wham!, Depeche Mode, etc. ».
Alain Maury, « De la catastérisation à la catastéroïdation... », sur spaceobs.com : « Dans le cas des astéroïdes nommés pour des personnes, il m’est arrivé dans quelques cas, a posteriori de regretter d’avoir baptisé tel ou tel astéroïde, ou de ne l’avoir pas fait. Il m’est arrivé de ne pas arriver à contacter la personne en question. Certains en n’ont absolument rien à faire, d’autres sont très heureux. La chanteuse britannique Kate Bush par exemple nous a invité à Londres pour un de ces (derniers ?) concerts. ».
standard.co.uk
(en) « Kate Bush and the war of Wuthering Heights », sur standard.co.uk, London evening standard, (consulté le ), Kate, 48, is married to guitarist Danny McIntosh [...].
telegraph.co.uk
(en) Alice Vincent, « Kate Bush announces first tour for 35 years », sur telegraph.co.uk, (consulté le ) : « Bush, 55, announced the Before the Dawn tour on Friday morning, causing her website, katebush.com, to crash and her name to trend on Twitter as the news broke. ».
(en) Rufus Wainwright, « Gay icons », sur theguardian.com, sunday 12 november 2006 (consulté le ) : « She connects so well with a gay audience because she is so removed from the real world. ».
(en) Kitty Empire, « Kate Bush: 50 Words for Snow – review », The Observer, (ISSN0029-7712, lire en ligne, consulté le )
(en) Richard Scott, « Mysteries Of Desire: Kate Bush, Beyond The Hits », sur thequietus.com, september 2nd, 2014 : « Written in 1978, homosexuality had only been legal for fourteen years when Kate Bush sang "they know the way to be happy" as Kashka and his unnamed boyfriend twirl to an LP of oud and joza behind the net curtain of their rented room. ».
(en) Maddy Sparham, « Mysteries Of Desire: Kate Bush, Beyond The Hits », sur thequietus.com, september 2nd, 2014 : « Claiming the first person feminine from Donovan's pastoral faerie tale narrator she transforms his already eccentric conceit into a fevered anthropomorphic dream of species transgression. Staring, eyes full of feathers, into her uncanny lover's imperious, unknowably mute mask, she attempts to divine the primal depths of sexual instinct, somehow merge and transcend the limits of her human form. ».
(en) Joe Banks, « Mysteries Of Desire: Kate Bush, Beyond The Hits », sur thequietus.com, september 2nd, 2014 : « Inspired by a documentary on the Vietnam War, and containing more than a hint of Apocalypse Now!'s heart of darkness, Bush does a remarkable job of evoking the jungle's oppressive, threatening atmosphere using uncanny Fairlight panpipes and the feral growl of Danny Thompson's double bass, the noise of helicopters and cicadas cutting across the mix. ».
(en) « “This girl is very, very tough…” The untold story of Kate Bush’s Hounds Of Love », sur uncut.co.uk, : « She didn’t really have any idea of the sonics and didn’t understand why, if you put 150 layers of things all together, you couldn’t hear all of them. She didn’t really want to listen. As far as I was concerned, when we were doing those sessions it sounded shit. It pissed me off, actually. ».
