(en-GB) N.E.C, « BAKI Part 1 Review », sur Anime UK News, : « The characters all look ridiculously muscular and detailed [...], but these hulking masses of muscle don’t work as well in motion. In fact there is very little fluidity in the animation of the fights, often being represented as a collection of still frames showing the momentous points of impact or, when more movement is required, some really uncomfortable-looking CG animation. ».
(en) « ITAGAKI Keisuke », sur Baka-Updates Manga : « After graduating from high school, enrolled in the Japan Ground Self-Defense Force. Quits at 24. Pursues a career as a manga artist at 25. Joins "Koike Kazuo Gekigason-juku (presently "Koike Kazuo Juku") ’s sixth generation class at 30. ».
Pegase, « Été 2018 : Le Bilan », sur Marge raisonnable de déviance, : « Si Baki (la série) est légendaire, c’est autant pour l’absurdité croissante de sa constante course à la puissance absolue et à la brutalité la plus absurde [...] que pour le trait caractéristique de son auteur. Itagaki, en tant qu’ex-parachutiste de la JSDF et qu’artiste martial, connaît incontestablement les arcanes de l’anatomie humaine, mais il préfère largement sa version des faits. Au fil des années, les proportions réalistes ont de plus en plus fait place à des corps et à des visages sculptés dans le bois, aux traits extrêmement définis, jusqu’à atteindre parfois des extrêmes où l’humanité est devenue une notion étrangère à l’affaire. ».
Captain Popcorn, « BAKI sur Netflix : quel est le fuck ? », sur Presse-citron, : « Ce qui faisait selon moi le charme de l’œuvre et de son personnage principal, Baki Hanma, se dilue et se perd totalement dans cette saison 3 [...] Pour avoir l’adaptation ultime de Baki, il faudrait le scénario des deux premières saisons, les meilleures illustrations de la saison 3 de Netflix et l’animation 2D de l’OAV de 1994. [...] la meilleure expérience pour découvrir Baki reste certainement le manga [...] ».