« Le manga et la France : analyse d'un succès », sur France-jeunes.net (consulté le ) : « Un exemple marquant est celui de Ségolène Royal, alors députée dans les Deux-Sèvres, qui publie en 1989, aux éditions Robert Laffont, un livre intitulé Le Ras-le-bol des bébés zappeurs. ».
(en) « Interview with Buronson », sur ADV Films Presents: New Fist of the North Star (consulté le ).
« Avis sur la série Violence Jack (1986) », sur SensCritique, (consulté le ), Violence Jack a certainement du influencer beaucoup d'œuvres (le manga papier étant tout de même de 1973), comme Mad Max ou encore Hokuto no Ken. Les motards, la violence, les décors détruits, le désert, les innocents, les ignobles chefs de "tribus", les petits villages abandonnés... tous les codes y sont..
(it) Ettore Gabrielli, « 40 anni di Devilman », sur Lo Spazio Bianco, (consulté le ), Eppure senza le sue opere una grossa fetta dell’immaginario popolare non sarebbe la stessa, dai robottoni (che si apprestano a invadere anche i cinema grazie a Guillermo del Toro e al suo Pacific Rim) alle maghette (i Mahō shōjo) delle quali Cutie Honey è antesignana; senza dimenticare le influenze, o quanto meno l’anticipazione di certe tematiche, come l’ambientazione post-olocausto di Violence Jack (1973), che precede di diversi anni film come Mad Max (1979) o fumetti come Ken il Guerriero (1983)..