(en) Sarah Fay, « Kenzaburo Oe, The Art of Fiction No. 195 », The Paris Review, vol. Winter 2007, no 183, (ISSN0031-2037, lire en ligne, consulté le )
Philippe Pons, « Tokyo occulte le rôle de l'armée impériale dans les suicides collectifs D'Okinawa en 1945 », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le )
laviedesidees.fr
Antonin Bechler, « Kenzaburô Ôé ou la barbarie du réel », La Vie des idées, (lire en ligne)
lemonde.fr
« L’écrivain japonais Kenzaburô Oé, Prix Nobel de littérature, est mort », Le Monde.fr, (lire en ligne)
Philippe Pons, « Tokyo occulte le rôle de l'armée impériale dans les suicides collectifs D'Okinawa en 1945 », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le )
Traduit de l’anglais : « who with poetic force creates an imagined world, where life and myth condense to form a disconcerting picture of the human predicament today » (source :Site officiel de la Fondation Nobel, inNobel prize Laureates in literature, rubrique consacrée à Kenzaburō Ōe, 1994)
Traduit de l’anglais : « in a village hemmed in by the forests of Shikoku, one of the four main islands of Japan. His family had lived in the village tradition for several hundred years, and no one in the Oe clan had ever left the village in the valley. » (source : Site officiel de la Fondation Nobel, inNobel prize Laureates in literature, rubrique consacrée à Kenzaburō Ōe, 1994).
telerama.fr
Marine Landrot, « Kenzaburô Oé : “Nous vivons une période très difficile qui fait honte au Japon” », Télérama, (lire en ligne)
(en) Sarah Fay, « Kenzaburo Oe, The Art of Fiction No. 195 », The Paris Review, vol. Winter 2007, no 183, (ISSN0031-2037, lire en ligne, consulté le )