(sk) SITA, « Teplotné rekordy padli dnes až v 6 mestách », sur 24hod.sk, (consulté le ) : « V Lučenci, Košiciach, v Nitre, na Sliači ale aj v Kamenici a v Hurbanove dnes poobede padli doterajšie teplotné rekordy pripadajúce na dnešný deň, agentúru SITA o tom informoval meteorológ ».
Le plan est apparu dans un livre de Leon Andrea Maggiorotti traitant d'œuvre d'architecte italien en Europe L´Opera del genio italiano all´estero , Architetti e architetture militari, édité vers 1939 et cité par (sk) Jozef Duchoň, « Z pokladov múzejnej knižnice - Maggiorottiho kniha »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur cassovia.sk, Košice, (consulté le ).
Denis Diderot et Jean le Rond d'Alembert, Encyclopédie, ou, Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, vol. 6, chez les Sociétés typographiques, , 808 p. (lire en ligne), Page 483.
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(hu) Márai Sándor Magyar Tanítási Nyelvű Gimnázium és Alapiskola - Gymnázium a základná škola Sándora Máraiho s vyučovacím jazykom maďarským, « About school », marai.edupage.org (consulté le ).
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Gymnázium Milana Rastislava Štefánika, Nám. L. Novomeského 4, Košice, « Bilingválne štúdium » (consulté le ).
Jean-Louis Vaxelaire, « Pistes pour une nouvelle approche de la traduction automatique des noms propres », journal des traducteurs/Translators' Journal, vol. 51, no 4, , p. 719-738 (ISSN1492-1421, lire en ligne).
(en) « Kosice - History », sur Eurotravelling.net, 2000 - 2004 (consulté le ) : « Already by that time, the original, one-nave church of St. Elizabeth (1260-1280) stood in the middle of the spindle-shaped square (a typical shape for eastern-Slovakia towns). ».
(hu) Magyarország geographiai szótára, mellyben minden város, falu és puszta, betürendben körülményesen leiratik., Pest, (lire en ligne).
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(en + sk) Nerastné suroviny Slovenska (« Ressources minérales de la Slovaquie »), Bratislava, Institut géologique d'État « Dionyz Štur », (ISBN80-88974-84-4, lire en ligne).
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(sk) Eva Bombová, « Košice – lesný klenot v strede Európy », Spravodajca územnej samosprávy, vol. 3, no 3, (ISSN1336-6475) :
« V strednej Európe má viac lesov ako naše mesto iba Viedeň a ide o historický majetok, ktorý majú Košice už 700 rokov »
La méthode de construction des paneláks fut largement utilisée dans tout le bloc de l'Est jusqu'à la chute des régimes communistes en Europe : on y a ensuite renoncé en raison des inconvénients, notamment au niveau de l'ajustement des panneaux, de leur manque d'étanchéité et du mauvais isolement ((en-US) Lisa Schwarzbaum, « The Monoliths of Bratislava », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )).
Les Juifs de Košice, bien que pour la plupart magyarophones, ne récupèrent pas la citoyenneté hongroise qu'ils avaient eue jusqu'en 1918. Lorsque par les arbitrages de Vienne la Hongrie récupère la ville, ils deviennent apatrides. Le régime conservateur de Miklós Horthy ne traite pas les 725 000 juifs vivant en Hongrie en 1941 de manière égale (voir [1]) : la moitié d'entre eux, restés citoyens hongrois en 1920 (traité de Trianon) est soumise à diverses restrictions et persécutions mais échappe jusqu'en 1944 à la déportation en Allemagne (100 000 personnes d’après l’encyclopédie multimédia de la Shoah) ; en revanche l'autre moitié, apatride (juifs ex-tchécoslovaques, roumains ou yougoslaves entre 1920 et 1940) est soumise au décret du stipulant leur recensement et leur expulsion (Dictionnaire de la Shoah, p. 312, « La Hongrie avant l'occupation allemande » in : Encyclopédie multimédia de la Shoah : [2] et (en) « Uzhorod » sur le site www.jewishvirtuallibrary.org).
(sk) « Košice - metropola východného Slovenska », sur kosice.info (consulté le ) : « Košice (štvrť milióna obyvateľov) – 2. najväčšie mesto Slovenska (5. najväčšie v bývalom Československu). ».
kosice.sk
(sk) Radoslav Mokriš, Marcela Ďurišová, Jana Dvorská, Juraj Gembický, Alena Hrabinská, Jozef Jarkovský, Viera Kladeková, Zuzana Labudová, Kristína Markušová, Zuzana Varechová, Vladimír Sobota et Zuzana Strnková, História Košíc Pre Budúcnosť Mesta, KRAJSKÝ PAMIATKOVÝ ÚRAD KOŠICE, , 132 p. (ISBN80-89089-42-9, lire en ligne [PDF]), p. 7.
(sk) Miriam Brašková, Tomáš Sabol, Olaf Baumann, Radoslav Delina, Radovan Dráb, Katarína Hiľovská et Peter Mlynárčik, Identifikácia súčasných a očakávaných potrieb firiem v oblasti informačných a komunikačných technológií v regióne východného Slovenska, (ISBN978-80-553-0284-3, lire en ligne).
Les Juifs de Košice, bien que pour la plupart magyarophones, ne récupèrent pas la citoyenneté hongroise qu'ils avaient eue jusqu'en 1918. Lorsque par les arbitrages de Vienne la Hongrie récupère la ville, ils deviennent apatrides. Le régime conservateur de Miklós Horthy ne traite pas les 725 000 juifs vivant en Hongrie en 1941 de manière égale (voir [1]) : la moitié d'entre eux, restés citoyens hongrois en 1920 (traité de Trianon) est soumise à diverses restrictions et persécutions mais échappe jusqu'en 1944 à la déportation en Allemagne (100 000 personnes d’après l’encyclopédie multimédia de la Shoah) ; en revanche l'autre moitié, apatride (juifs ex-tchécoslovaques, roumains ou yougoslaves entre 1920 et 1940) est soumise au décret du stipulant leur recensement et leur expulsion (Dictionnaire de la Shoah, p. 312, « La Hongrie avant l'occupation allemande » in : Encyclopédie multimédia de la Shoah : [2] et (en) « Uzhorod » sur le site www.jewishvirtuallibrary.org).
La méthode de construction des paneláks fut largement utilisée dans tout le bloc de l'Est jusqu'à la chute des régimes communistes en Europe : on y a ensuite renoncé en raison des inconvénients, notamment au niveau de l'ajustement des panneaux, de leur manque d'étanchéité et du mauvais isolement ((en-US) Lisa Schwarzbaum, « The Monoliths of Bratislava », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )).
(en + sk) Slovak Jewish Heritage Center[le lien externe a été retiré], « Slovak Synagogues », sur slovak-jewish-heritage.org (consulté le ).
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slovakia.org
(en + sk) « Kosice », sur slovakia.org (consulté le ).
(sk) « August 1968 : V Košiciach ľudia zastavili konvoj », (consulté le ) : « Košice Sedem mŕtvych a sedemdesiatjeden zranených. Toľko obetí si podľa podľa výsledkov dva a pol ročného skúmania Ústavu pamäti národa vyžiadala v auguste 1968 invázia vojsk Varšavskej zmluvy v Košiciach. ».
(en) « Košice », sur travel.spectator.sme.sk, Spectacular Slovakia, (consulté le ).
volby.sme.sk
(sk) Jozef Čavojec, Mikuláš Jesenský, « Rómske hlasy ležia na zemi, nik sa k nim nezohol » (consulté le ) : « Úplne posledné miesto v tejto štatistike si vyslúžilo najväčšie rómske sídlisko na Slovensku – košický Lunik IX. ».
Les Juifs de Košice, bien que pour la plupart magyarophones, ne récupèrent pas la citoyenneté hongroise qu'ils avaient eue jusqu'en 1918. Lorsque par les arbitrages de Vienne la Hongrie récupère la ville, ils deviennent apatrides. Le régime conservateur de Miklós Horthy ne traite pas les 725 000 juifs vivant en Hongrie en 1941 de manière égale (voir [1]) : la moitié d'entre eux, restés citoyens hongrois en 1920 (traité de Trianon) est soumise à diverses restrictions et persécutions mais échappe jusqu'en 1944 à la déportation en Allemagne (100 000 personnes d’après l’encyclopédie multimédia de la Shoah) ; en revanche l'autre moitié, apatride (juifs ex-tchécoslovaques, roumains ou yougoslaves entre 1920 et 1940) est soumise au décret du stipulant leur recensement et leur expulsion (Dictionnaire de la Shoah, p. 312, « La Hongrie avant l'occupation allemande » in : Encyclopédie multimédia de la Shoah : [2] et (en) « Uzhorod » sur le site www.jewishvirtuallibrary.org).
usske.sk
(en) « U. S. Steel Kosice History » (consulté le ) : « In January 1960 construction started on more than 800 hectares of land, which changed the character not only of Kosice and its surroundings but of Slovakia as a whole as well. ».
Le plan est apparu dans un livre de Leon Andrea Maggiorotti traitant d'œuvre d'architecte italien en Europe L´Opera del genio italiano all´estero , Architetti e architetture militari, édité vers 1939 et cité par (sk) Jozef Duchoň, « Z pokladov múzejnej knižnice - Maggiorottiho kniha »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur cassovia.sk, Košice, (consulté le ).
Le plan est apparu dans un livre de Leon Andrea Maggiorotti traitant d'œuvre d'architecte italien en Europe L´Opera del genio italiano all´estero , Architetti e architetture militari, édité vers 1939 et cité par (sk) Jozef Duchoň, « Z pokladov múzejnej knižnice - Maggiorottiho kniha »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur cassovia.sk, Košice, (consulté le ).