Frère Maximilien-Marie du Sacré-Cœur, « Pourquoi avoir choisi le titre : « L'Ami de la Religion et du Roi » ? », L'Ami de la Religion et du Roi, (lire en ligne, consulté le ).
Il s'agit là pour Hervé Pinoteau, de « l'invention d'une nouvelle loi fondamentale par Ph. du Puy de Clinchamps dans son « Que sais-je ? » sur Le royalisme, 1967, p. 107 : pour être dynaste il faut sortir d'une branche « de nationalité continûment française » » : Hervé Pinoteau, Compte rendu critique (d'un livre de Hugues Trousset, La Légitimité dynastique en France, Grenoble, Éditions Roissard, 1987, 132 p. ), Revue historique, no 569, janvier-, p. 272, lire en ligne (BNF34349205). Du Puy de Clinchamps avait développé cette théorie dès 1965 dans son livre Les grandes dynasties, p. 55, lire en ligne (BNF32989070), un autre « Que sais-je ? ».
Lettre de Philippe V au parlement de Paris en : « La couronne de France nous est incontestablement dévolue par le droit de notre naissance et par les lois fondamentales de l'État » : Sixte de Bourbon, Le Traité d'Utrecht et les Lois fondamentales du Royaume (thèse pour le doctorat), Paris, (lire en ligne sur Gallica), partie 4, chap. III, p. 220.
[extrait de Quarterly Review], « Don Carlos en Navarre », Revue britannique : ou choix d'articles traduits des meilleurs écrits périodiques de la Grande-Bretagne, 4e série, no 3, , p. 41 (lire en ligne sur Gallica).
Charles Bigot, « Un peu de clarté commence à se faire sur l'état exact du parti royaliste », Le XIXe siècle, no 4581, , p. 1 (lire en ligne sur Gallica).
Le Nobiliaire universel, ou Recueil général des généalogies historiques et véridiques des maisons nobles de l'Europe (publié sous la direction de L. de Magny [Ludovic Drigon de Magny]), vol. XII, 1877 (BNF32823891), « GUÉRIN DE LA HOUSSAYE », p. 7, lire en ligne.
« Les cours, les ambassades, le monde et la ville », Figaro, no 237, , p. 2 (lire en ligne).
« Le tricentenaire de Louis XIV », Journal des débats politiques et littéraires du : « En l'honneur du tricentenaire de Louis XIV, une délégation du comité directeur de l'Union légitimiste de France, conduite par le président, M. D. Proust, a déposé des lys et des roses à la statue de la place des Victoires. Comme tous les ans, à pareille date, la statue d'Henri IV a été également fleurie. »Lire en ligne
La Croix du : « Le 21 janvier, une délégation de « l'Union légitimiste de France », conduite par M. Désiré Proust, son président, et par M. le vicomte Gérard d'Amarzit, a déposé une gerbe de fleurs à la chapelle expiatoire à la mémoire de Louis XVI. »Lire en ligne
« Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville », Figaro, no 68, , p. 2 (lire en ligne).
Le général Edward Kirkpatrick (qui se titrait baron Kirkpatrick de Closeburn(en)), né à Philadelphie (États-Unis) le 5 juillet 1841 et mort à Paris XVIe le 15 avril 1925 (inhumé à San Mateo, en Californie), fit partie de l'état-major du prétendant carliste au trône d'Espagne (Charles de Bourbon, dit Charles VII). Il publia en 1907, un essai historico-politique de plus de trois cents pages pour défendre les droits des Bourbons au trône de France, contre les prétentions des Orléans : général Edward Kirkpatrick de Closeburn, Les Renonciations des Bourbons et la succession d'Espagne (BNF30682867). Il était cousin issu de germains de la troisième impératrice des Français, Eugenia Palafox y Kirkpatrick, dont la mère, María Manuela Kirkpatrick de Grevignée, était une cousine germaine[84] de Harris W. Kirkpatrick (natif de Litchfield, Connecticut), le père du général.
Archiviste chartiste, Gérard Maurice Robert d'Amarzit est né à Talence le 9 janvier 1911 et mort au Chesnay le 30 septembre 1992. Il se titrait vicomte comme son père Guy (1881-1971), cependant que son oncle Robert (1875-1965) et leur cousin le général de brigade Max d'Amarzit (1873-1943) se titraient respectivement comte et baron. Gérard d'Amarzit fut co-auteur du livre de Luigi Bader (préf. René Pillorget), Le Comte de Chambord et les siens en exil, Paris, Diffusion Université-Culture, , 180 p. (ISBN2-904092-000-5 (édité erroné), BNF36273349).
Il s'agit là pour Hervé Pinoteau, de « l'invention d'une nouvelle loi fondamentale par Ph. du Puy de Clinchamps dans son « Que sais-je ? » sur Le royalisme, 1967, p. 107 : pour être dynaste il faut sortir d'une branche « de nationalité continûment française » » : Hervé Pinoteau, Compte rendu critique (d'un livre de Hugues Trousset, La Légitimité dynastique en France, Grenoble, Éditions Roissard, 1987, 132 p. ), Revue historique, no 569, janvier-, p. 272, lire en ligne (BNF34349205). Du Puy de Clinchamps avait développé cette théorie dès 1965 dans son livre Les grandes dynasties, p. 55, lire en ligne (BNF32989070), un autre « Que sais-je ? ».
Mgr Amédée Curé, ancien aumônier de M. le Comte de Chambord, Monsieur le Comte de Chambord et Sa Sainteté Léon XIII : observations sur les « Mémoires » de Mme de la Ferronnays, Paris ; Bar-le-Duc, Imprimerie-librairie Saint-Paul, s.d. 1905, 148 p. (BNF31985005), « Appendice B : Lettres de M. le Comte Léonor de Cibeins sur la succession de France », p. 100-102.
« Le feu Roi avoit voulu traiter en fils de France les enfants du roi d'Espagne, qui par leur naissance n'en étoient que petits-fils; et les renonciations intervenues pour la paix d'Utrecht n'avoient rien changé à cet usage, dont les alliés ne s'aperçurent pas, et dont les princes que les renonciations du roi d'Espagne regardoient ne prirent pas la peine de s'apercevoir non plus. Suivant cette règle, tous les fils du roi d'Espagne portèrent, comme fils de France, le cordon bleu en naissant » : Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, Mémoires complets et authentiques du duc de Saint-Simon sur le siècle de Louis XIV et la Régence, t. XIV, Paris, Hachette, (BNF31285286), p. 163.
Saint-Simon avait déclaré au régent en 1718 : « je vous confesse, monsieur, à vous tout seul, que pour moi, qui n'ai jamais été connu du roi d'Espagne que pour avoir joué aux barres avec lui et à des jeux de cet âge, qui n'en ai pas ouï parler depuis qu'il est en Espagne, ni lui beaucoup moins de moi, et qui n'y connois qui que ce soit ; moi, qui suis à vous dès l'enfance, et qui savez à quel point j'y suis ; qui ai tout à attendre de vous, et quoi que ce soit de nul autre, je vous confesse, dis-je, que, si les choses venoient à ce point, je prendrois congé de vous avec larmes, j'irois trouver le roi d'Espagne, je le tiendrois pour le vrai régent et le dépositaire légitime de l'autorité et de la puissance du roi mineur » : Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, Mémoires complets et authentiques du duc de Saint-Simon sur le siècle de Louis XIV et la Régence, t. XII, Paris, Hachette, (BNF31285286, lire en ligne), p. 43.
Duc de Saint-Simon, Papiers en marge des Mémoires, Paris, Le Club français du livre, coll. « Les Portiques » (no 34), , 1393 p. (BNF32598682, lire en ligne), p. 249-250.
MM. G. [Guillaume] Véran, A. [Achille] de Guny, H. [Henri] Marchand, Cte [comte] L. [Ludovic] de Blavette, membres démissionnaires de l'ancien Comité légitimiste de propagande de Paris, Le Boulangisme devant la légitimité, réponse à M. le Cte [comte] M. [Maurice] d'Andigné, Paris, imprimerie Charles Schlaeber, , 55 p. (BNF31556707).
Le Nobiliaire universel, ou Recueil général des généalogies historiques et véridiques des maisons nobles de l'Europe (publié sous la direction de L. de Magny [Ludovic Drigon de Magny]), vol. XII, 1877 (BNF32823891), « GUÉRIN DE LA HOUSSAYE », p. 7, lire en ligne.
Pierre-Clément Bérard, Les Cancans politiques (BNF32737032).
Le Royaliste, journal politique hebdomadaire publié de 1881 à 1882 (BNF32863137).
Il s'agit là pour Hervé Pinoteau, de « l'invention d'une nouvelle loi fondamentale par Ph. du Puy de Clinchamps dans son « Que sais-je ? » sur Le royalisme, 1967, p. 107 : pour être dynaste il faut sortir d'une branche « de nationalité continûment française » » : Hervé Pinoteau, Compte rendu critique (d'un livre de Hugues Trousset, La Légitimité dynastique en France, Grenoble, Éditions Roissard, 1987, 132 p. ), Revue historique, no 569, janvier-, p. 272, lire en ligne (BNF34349205). Du Puy de Clinchamps avait développé cette théorie dès 1965 dans son livre Les grandes dynasties, p. 55, lire en ligne (BNF32989070), un autre « Que sais-je ? ».
André Favyn, Le Théâtre d’honneur et de Chevalerie : ou, l’histoire des ordres militaires des Roys et Princes de la Chrestienté, et leur généalogie. De l’institution des armes et blazons ; roys, heraulds, et poursuivant d’armes ; duels, joustes et tournois, etc., Paris, 1620, p. 549. Lire en ligne : https://books.google.fr/books?id=sGDIYhuS7dEC&pg=PA549
Saint-Simon avait déclaré au régent en 1718 : « je vous confesse, monsieur, à vous tout seul, que pour moi, qui n'ai jamais été connu du roi d'Espagne que pour avoir joué aux barres avec lui et à des jeux de cet âge, qui n'en ai pas ouï parler depuis qu'il est en Espagne, ni lui beaucoup moins de moi, et qui n'y connois qui que ce soit ; moi, qui suis à vous dès l'enfance, et qui savez à quel point j'y suis ; qui ai tout à attendre de vous, et quoi que ce soit de nul autre, je vous confesse, dis-je, que, si les choses venoient à ce point, je prendrois congé de vous avec larmes, j'irois trouver le roi d'Espagne, je le tiendrois pour le vrai régent et le dépositaire légitime de l'autorité et de la puissance du roi mineur » : Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, Mémoires complets et authentiques du duc de Saint-Simon sur le siècle de Louis XIV et la Régence, t. XII, Paris, Hachette, (BNF31285286, lire en ligne), p. 43.
Duc de Saint-Simon, Papiers en marge des Mémoires, Paris, Le Club français du livre, coll. « Les Portiques » (no 34), , 1393 p. (BNF32598682, lire en ligne), p. 249-250.
Amédée Boudin, Histoire de Louis-Philippe Ier, roi des Français, t. I, Paris, , 462 p. (BNF33986969, lire en ligne), p. 338.
François Ier et la renaissance 1515-1547, , 392 p. (lire en ligne), p. 30.
« 1972-1992 : vingt ans de Chapelle expiatoire », Feuille d’information légitimiste, Paris, Service d’information culturelle et de réalisations éditoriales, no 95, , p. 3 (ISSN0764-5031).
« Pau : quadricentenaire d'Henri IV, la commémoration manquée », Feuille d’information légitimiste, Paris, Service d’information culturelle et de réalisations éditoriales, no 73, , p. 3 (ISSN0764-5031).
« Messe invalide(s) ? », Royal Hebdo, no 147, , p. 2 (ISSN1255-7595).
Dans un entretien à Paris Match le , Louis de Bourbon utilise pour lui-même le mot « prétendant ». « A 18 ans, j’ai joué pleinement mon rôle de prétendant au trône de France », dit-il à Olivier O’Mahony : lire en ligne. Cependant, hormis cette conversation informelle avec un journaliste, le duc d'Anjou ne se revendique pas dans ses déclarations et discours comme un « prétendant », suivant en cela l'attitude de ses prédécesseurs Bourbons, notamment de son père ainsi que du duc d'Anjou et de Madrid.
psbenlyonnais.fr
La Lettre de la Fédération des associations Présence du Souvenir Bourbonien, No 36, octobre 2007, p. 6-7, lire en ligne.
Le général Edward Kirkpatrick (qui se titrait baron Kirkpatrick de Closeburn(en)), né à Philadelphie (États-Unis) le 5 juillet 1841 et mort à Paris XVIe le 15 avril 1925 (inhumé à San Mateo, en Californie), fit partie de l'état-major du prétendant carliste au trône d'Espagne (Charles de Bourbon, dit Charles VII). Il publia en 1907, un essai historico-politique de plus de trois cents pages pour défendre les droits des Bourbons au trône de France, contre les prétentions des Orléans : général Edward Kirkpatrick de Closeburn, Les Renonciations des Bourbons et la succession d'Espagne (BNF30682867). Il était cousin issu de germains de la troisième impératrice des Français, Eugenia Palafox y Kirkpatrick, dont la mère, María Manuela Kirkpatrick de Grevignée, était une cousine germaine[84] de Harris W. Kirkpatrick (natif de Litchfield, Connecticut), le père du général.
Ceint du cordon bleu[25],[26],[27] de l'ordre du Saint-Esprit que lui avait remis la comtesse de Chambord, Jean de Bourbon fut le premier Capétien venant juste après le représentant (neveu(de)) de l'empereur d'Autriche, tant pour suivre le convoi funèbre depuis la gare jusqu'à la cathédrale de Gorizia, que pendant la cérémonie des obsèques dans la cathédrale. À la suite de Jean III, se tenaient ses deux fils — l'aîné, le duc de Madrid, étant le prétendant carliste au trône d'Espagne, et le nouveau dauphin des légitimistes français — et son petit-fils. Le comte de Paris avait refusé d'assister aux obsèques (bien qu'il fût présent l'avant-veille, à l'office funèbre qui eut lieu à Frohsdorf), n'ayant pu jouir de la première place qu'il convoitait.