« Ce journal était l'organe officieux de la C.G.T. et ses principaux collaborateurs, surtout des syndicalistes révolutionnaires », Fiche complémentaire, in René Bianco, Répertoire des périodiques anarchistes de langue française : un siècle de presse anarchiste d’expression française, 1880-1983, thèse de doctorat, Université d’Aix-Marseille, 1987, 3503 pages, La Bataille syndicaliste.
René Bianco, Répertoire des périodiques anarchistes de langue française : un siècle de presse anarchiste d’expression française, 1880-1983, thèse de doctorat, Université d’Aix-Marseille, 1987, 3503 pages, La Bataille, organe quotidien syndicaliste.
René Bianco, Répertoire des périodiques anarchistes de langue française : un siècle de presse anarchiste d’expression française, 1880-1983, thèse de doctorat, Université d’Aix-Marseille, 1987, 3503 p., La Bataille syndicaliste.
« La Bataille syndicaliste, organe officieux de la CGT », Jean-Paul Scot, Jaurès et le réformisme révolutionnaire, Le Seuil, 2014, page 230.
« La Bataille syndicaliste (1911-1915), organe officieux de la CGT d'avant-guerre », Chloé Gaboriaux, Vers une histoire sociale des idées politiques, Presses universitaires du Septentrion, 2018, page 71.
pierrejeanjouve.org
Roland Roudil, La Bataille syndicaliste, Quotidien (1911-1915) et La Bataille Quotidien (1915-1920), Dictionnaire Pierre Jean Jouve, 20 septembre 2012, [lire en ligne].