Texte sur Gallica. L'attribution de cet article à Balzac est aujourd'hui contestée, car il avait cessé de collaborer à ce journal depuis près de deux ans. Voir Pléiade 1996, p. 1605.
Différences entre Balzac et moi, texte manuscrit. Voir aussi l'article « Causerie », La Tribune, 31 octobre 1869. Ces deux textes sont repris dans Vachon 1999, p. 297-303.
Claudine Cohen, « Balzac et l'invention du concept de milieu », dans Dufour-Mozet 2004, p. 25. Voir aussi TLFI.
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« L'observateur est incontestablement homme de génie au premier chef. Toutes les inventions humaines procèdent d'une observation analytique dans laquelle l'esprit procède avec une incroyable rapidité d'aperçus. », Théorie de la démarche, texte en ligne, p. 29.
Ada Smaniotto, « Le paradigme indiciaire dans La comédie humaine : le cas de la cognomologie », Études françaises, vol. 49, no 3, , p. 103-118 (lire en ligne)
Balzac reprenait constamment ses textes. À titre d'exemple, cette page se trouve au volume 8, p. 148 de l'édition « Furne de 1843 », corrigée de la main de Balzac et publiée par les Bibliophiles de l'originale. On peut lire cette version du texte, sans les corrections manuscrites, dans wikisource. Pour apprécier le travail de révision de Balzac, on comparera avec « l'édition antérieure de 1837 » et avec « l'édition ultérieure de 1866 » publiée par Lévy.
Une recherche dans l'édition en ligne donne 238 occurrences de l'expression « mille livres de rente ».
Grâce au site de l'ARTFL, qui permet de faire des recherches dans l'ensemble de La Comédie humaine, il est possible de dresser un palmarès des villes citées : Paris (3 563 occurrences) contre Angoulême (268), Bordeaux (136), Orléans (113), Blois (96), Vendôme (73), etc. Voir aussi l'Index géographique, dans Pléiade 1990, p. 1814-1846.
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« Mon cousin, monsieur le président de Bonfons s'est chargé de vous remettre la quittance de toutes les sommes dues par mon oncle », Eugénie Grandet, p. 361-362.
« Comme il se trouve une différence de huit cents francs par an entre la pension que payait feu […] », dans Le Curé de Tours, p. 42.
« Je soussigné, me portant fort pour monsieur Pons, reconnais avoir reçu de monsieur Élie Magus […] », dans Le Cousin Pons, p. 572. Discussion dans Dissaux 2012, p. 221-222.
Voir la Lettre d'Émile Blondet décrivant la Bourgogne et les environs du château de Montcornet au début des Paysans, p. 221-224.
Balzac reprenait constamment ses textes. À titre d'exemple, cette page se trouve au volume 8, p. 148 de l'édition « Furne de 1843 », corrigée de la main de Balzac et publiée par les Bibliophiles de l'originale. On peut lire cette version du texte, sans les corrections manuscrites, dans wikisource. Pour apprécier le travail de révision de Balzac, on comparera avec « l'édition antérieure de 1837 » et avec « l'édition ultérieure de 1866 » publiée par Lévy.
« Tout cela, si vous me permettez d’user du style employé par monsieur Sainte-Beuve pour ses biographies d’inconnus […]. » (Un prince de la bohème, p. 102.)
« Che ne sais bas au chiste, dit le baron de Nucingen, mais il a keke chausse. » (La Maison Nucingen, p. 30).
Pierre Citron, La Pléiade. 1977, t. VI, p. 1311. Voir texte sur Wikisource. Comparer aussi entre la première édition et l'édition définitive de La Muse du département. La décision de supprimer les titres de chapitres aurait été prise pour économiser l'espace, au grand regret de Balzac, selon Lovenjoul 1879, p. 1-2.
En juin 2014, le Worldcat répertoriait 19 289 éditions pour Honoré de Balzac, ce qui est à peu près à égalité avec Molière (21 773), mais moins que les deux Dumas (23 964) et que Victor Hugo (31 187).