[1]DOMESTOS / LA ROUE DE LA FORTUNE : NETTOYANT MENAGER JAVELLISE, Unilever International Paris
lemonde.fr
« Publicités, parrainages, jeux, concurrence... La télé aux œufs d'or », sur lemonde.fr Quant à " La roue de la fortune ", elle est offerte par Unilever. " Il y a trente cinq ans, les annonceurs se sont rendu compte que c'était un moyen de fidéliser les téléspectateurs ", explique Pascal Josèphe, ancien directeur de la programmation de TF 1 sous Hervé Bourges, qui a importé en France le système et... les feuilletons.
« La France joue et gagne », Le Monde, La roue de la fortune ", qui a fait presque aussitôt après son lancement entre 26 et 30 points d'audience chaque soir, ne coûte à la chaine que 100000 francs la demi-heure, une misère comparée au million de francs par heure que coûtait, par exemple, " Cocoricocoboy ", qui la précédait dans le même créneau.
« Fonctionnement et gestion de TF1 », sur senat.fr, Réponse du ministère : Culture
publiée dans le JO Sénat du 25/09/1986 - page 1346
Réponse. -Il est exact que le déficit de TF 1 est passé de 10 millions de francs en 1983 à 18 millions de francs en 1984 et 103,7 millions de francs en 1985. Par ailleurs, pour faciliter le financement d'émissions, TF 1 a fait appel en 1985 à la coproduction et au parrainage, dans le cadre d'une recommandation émise le 22 mai 1985 par la Haute Autorité de la communication audiovisuelle : ainsi en a-t-il été des émissions " Tournez manège " (avec Télé-Poche) et " Cocoricocoboy " avec Orangina. Cependant, la Haute Autorité a demandé la suspension de ces parrainages considérant que ces modalités de financement ne pouvaient s'appliquer à des émissions répétitives. Le 11 décembre 1985, elle émettait un nouvel avis établissant des différences de nature et de droit entre les partenaires (coproduction réservée aux entreprises de communication, parrainage appliqué aux entreprises, mécénat). Depuis cette date, les principes posés dans cet avis ont été strictement observés par TF 1 et les actions de parrainage qui ont pu intervenir ont donné lieu à l'établissement de conventions avec les partenaires. Dans aucune de ces circonstances, la responsabilité de la société, portant notamment sur le contenu des programmes et sur leur programmation, ne s'en est trouvée aliénée.