Bibliothèque de Lyon. Catalogue des livres qu'elle renferme dans la section du théâtre, p. 512 Gallica. Sérénade (La) Comédie un acte 1694 Regnard. Première pièce donnée par l’auteur au théâtre français. Il fit la musique du divertissement qui fut ensuite retouchée par Gilliers. Le succès de cette petite comédie s'est soutenu. Elle a été faussement attribuée à Palaprat.
Conférences faites aux matinées classiques du Théâtre national de l’Odéon, 1er janvier 1920 Gallica. La pièce de Regnard évoque L’Avare, les Fourberies de Scapin et Tartuffe.
Encyclopedie méthodique. Musique. [1]
Mesdames Gai & Gail viennent de donner à Paris,
& au théâtre Feydeau, sous le titre de la Sérénadeespagnole (sic), un opéra en un acte, où M. Martin
montre toute la fécondité de son talent & de son art.
Il est impossible de mieux chanter, & de vaincre avec
plus de facilité & de perfection des difficultés qu'on
croiroit insurmontables. (De Montigny.)
Jacques Isnardon, Le théâtre de la Monnaie depuis sa fondation jusqu'à nos jours, p. 233 : 1818. — 23 décembre, la Sérénade, 1 acte Mme S. Gay, Mme S. Gail (Opéra-Comique 2 avril 1818) [2] Nota: La date qui précède la pièce est celle de la première représentation à Bruxelles ; celle qui suit est la date de la première à Paris.
CH. Vesque, Histoire des théâtres du Havre, 1717 à 1872 : comprenant l'historique des anciennes et des nouvelles salles de spectacle de cette ville, le répertoire des pièces jouées jusqu'à ce jour, les représentations par les célébrités dramatiques et lyriques, les débuts et incidents s'y rattachant, épisodes, anecdotes, biographies, etc…Gallica
Henri Malherbe, La Musique et les médecins, Pallas, le 15 janvier 1936 [3] : « Ne soulevons que légèrement le voile de l’oubli qui recouvre le souvenir de Sophie Gail. … En 1816 (sic), elle conquit son plus grand succès avec un opéra-comique en un acte, la Sérénade. La faveur publique avait été attirée sur l’ouvrage par suite de l’homonymie des auteurs. Le livret de la Sérénade, était en effet, signé de Sophie Gay et la partition de Sophie Gail. Peu de chose suffisait à l’époque pour piquer la curiosité des spectateurs.