Laurent Le Forestier, Aux sources de l'industrie du cinéma : Le modèle Pathé - 1905-1908, L'Harmattan, (lire en ligne), p. 165
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revistas.pucsp.br
(pt) « A dinâmica do espetáculo: O Movimento como expressão dramática em La Vie et La Passion de Jesus Christ (1902/1903) », Galáxia, São Paulo, no 19, (lire en ligne)
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1895.revues.org
Alain Boillat et Valentine Robert, « Vie et Passion de Jésus Christ (Pathé, 1902-1905) : hétérogénéité des « tableaux », déclinaison des motifs », 1895, no 60, (lire en ligne)
Le choix de ce thème pour des films longs est, selon Noël Burch, un « phénomène singulier » de l'histoire du « cinéma primitif », la notoriété de l'histoire racontée justifiant l'ambition du projet[1]. Les versions cinématographiques précédentes de la Passion du Christ étaient déjà exceptionnellement longues pour leur époque : celles de Léar (1897) puis de Hatot (1898) pour les Frères Lumière duraient plus de dix minutes et celle(de) de William Paley en 1898, d'une demi-heure.