* 1. 1871 : traité complet de prononciation… (A. Lesaint) note 2, p. 210 « Langue d’oïl ou d’oil, d’ouil, ouyl, et d’oui (prononcez o-il, ou-il, oui) nom donné, dans le Moyen Âge, à la langue que parlaient les peuples de la France habitant au nord de la Loire, et dans laquelle le signe affirmatif se prononçait oil, ouil, etc. La langue d’oui, dialecte qui se parlait au XIIIe siècle, est postérieure à la langue d’oïl. » https://archive.org/stream/traitcompletde00lesauoft#page/210/mode/2up (ed.1890).
Après une éclipse entre 2007 et le , le poitevin-saintongeais réapparaît dans la liste des langues de France, langues d'oïl, début 2010, dans le site web de la Délégation générale à la langue française et aux langues de France (DGLFLF), service du Ministère de la Culture, sous le libellé suivant : « poitevin-saintongeais [dans ses deux variétés : poitevin et saintongeais] ».
Le Comité consultatif pour la promotion des langues régionales et de la pluralité linguistique interne, installé par la ministre de la culture et de la communication, Aurélie Filippetti, le , et présidé par Rémi Caron, Conseiller d’État, évoque dans les conclusions de ses travaux, remis à la ministre le , « les langues d’oïl qui peuvent être considérées selon les points de vue, soit comme des langues à part entière, soit comme des variantes dialectales du français ». Voir : Rapport du Comité consultatif pour la promotion des langues régionales et de la pluralité linguistique interne.
Outre Lodge (2004), voir Robert Chaudenson, « Français d'Amérique du Nord et créoles français : le français parlé par les immigrants du XVIIe siècle », dans Les origines du français québécois, R. Mougeon et Édouard Beniak (ed.), Presses de l'Université Laval, 1994, p. 167-180 ; Yves Charles Morin, « Les sources historiques de la prononciation du français du Québec », dans Les origines du français québécois, R. Mougeon et Édouard Beniak (ed.), Presses de l'Université Laval, 1994, p. 199-236 ; Yves Charles Morin, « Les premiers immigrants et la prononciation du français au Québec », Revue québécoise de linguistique, vol. 31, no 1, 2002, p. 39-78 ; [1] Henri Wittmann, Grammaire comparée des variétés coloniales du français populaire de Paris du 17e siècle et origines du français québécois. Revue québécoise de linguistique théorique et appliquée, vol 12, 1995, p. 281-334, réimprimé dans Robert Fournier & Henri Wittmann (ed.), Le français des Amériques, Presses Universitaires de Trois-Rivières, 1995.[2] ; Henri Wittmann, « Le français populaire de Paris dans le français des Amériques », Proceedings of the International Congress of Linguists (Paris, 20-25 juillet 1997), Oxford, Pergamon (CD edition), 1998, article 16.0416.[3].
Jean-Michel Charpentier, « Le substrat poitevin et les variantes régionales acadiennes actuelles », Langue, espace, société: les variétés du français en Amérique du Nord, Claude Poirier (ed.), Presses de l'université Laval, 1994, pp. 41-67.[5].
Le présent classement, exception faite des aménagements signalés en note, correspond à celui donné par Hervé Abalain (Abalain 2007, p. 156).
Hervé Abalain indique que « l’orléanais, le tourangeau […], le berrichon, le bourbonnais, le parler d’Île-de-France sont des variations d’une même langue devenue le français standard » (Abalain 2007, p. 154).
Hans Goebl, université de Salzbourg, Regards dialectométriques sur les données de l'Atlas linguistique de la France (ALF): relations quantitatives et structures de profondeur, in: Estudis Romànics XXV, 2003, p. 59-121. Lire en ligne: : Dans cette étude le poitevin-saintongeais apparaît comme une unité aussi bien au niveau de l'analyse supradialectale (carte 20) que de l'analyse dialectale (carte 22).
Hans Goebl, Regards dialectométriques sur les données de l'Atlas linguistique de la France (ALF): relations quantitatives et structures de profondeur, in: Estudis Romànics XXV, 2003, p. 59-121. Lire en ligne.
Outre Lodge (2004), voir Robert Chaudenson, « Français d'Amérique du Nord et créoles français : le français parlé par les immigrants du XVIIe siècle », dans Les origines du français québécois, R. Mougeon et Édouard Beniak (ed.), Presses de l'Université Laval, 1994, p. 167-180 ; Yves Charles Morin, « Les sources historiques de la prononciation du français du Québec », dans Les origines du français québécois, R. Mougeon et Édouard Beniak (ed.), Presses de l'Université Laval, 1994, p. 199-236 ; Yves Charles Morin, « Les premiers immigrants et la prononciation du français au Québec », Revue québécoise de linguistique, vol. 31, no 1, 2002, p. 39-78 ; [1] Henri Wittmann, Grammaire comparée des variétés coloniales du français populaire de Paris du 17e siècle et origines du français québécois. Revue québécoise de linguistique théorique et appliquée, vol 12, 1995, p. 281-334, réimprimé dans Robert Fournier & Henri Wittmann (ed.), Le français des Amériques, Presses Universitaires de Trois-Rivières, 1995.[2] ; Henri Wittmann, « Le français populaire de Paris dans le français des Amériques », Proceedings of the International Congress of Linguists (Paris, 20-25 juillet 1997), Oxford, Pergamon (CD edition), 1998, article 16.0416.[3].
Henri Wittmann, « L'Ouest français dans le français des Amériques : le jeu des isoglosses morphologiques et la genèse du dialecte acadien », L'Ouest français et la francophonie nord-américaine: actes du Colloque international de la francophonie tenu à Angers du 26 au , Georges Cesbron (éd.), Angers : Presses de l'Université d'Angers, pp. 127-36.[4].