Heures de Noyon, Latin-Français, Traduction nouvelle des hymnes et proses, par M. l'abbé Lefèvre, Vicaire à Saint-Quentin : Ouvrage approuvé par NN. SS. les Évêques de Soisson et de Beauvais, Imprimerie Ad. Moureau, Saint-Quentin 1844, p. 554 - 566 (texte de Lauda Sion, p. 558 - 561) [lire en ligne], Bibliothèque de la Faculté de Théologie, Chantilly L38/39
Abbé Migne, Nouvelle encyclopédie théologique, tome 23-1, p. 1711, 1855 [1]
Abbé Capelle, Souvenir du jubilé séculaire du Saint-Sacrementd miracel , célébré à Douai en 1855, p. 177, note n° 14 [4]
Revue du monde catholique, tome X, p. 361, notes n° 1 (Historia ecclesiastica Natalis Alexandri, tome VII, p. 295, mentionnée par J. Grange) et n° 2 (1869) [5]
Julienne Nyhan, One Origin of Digital Humanities ; Fr Robert Busa in His Own Words, p. 33 - 35, 2019 (en) [6] 5) L (Lauda Sion) VI primæ, 6) L X Doctis, 7) L XV assumitur
Francis Dvornik, The Slavs in european History and Civilisation, p. 154 - 155, 1962 (en) [7]
Alfred Thomas, Reading Women in Late Medieval Europe p. 34 - 35, 2016 (en) [8]
Il faut remarquer, au contraire, qu'il existe un manuscrit italien (XIIIe siècle, utilisé à Carinola près du Mont Cassin) qui manque du Lauda Sion dans la messe (folio 68v), Breviarum ad usum ecclesiæ Callinensis. Or, sur le folio 64v, on lit : Incipit officium de corpore cristi editum a sancto Thoma de aquino .... Ce sont des feuilles ajoutées tardivement. (W.H. James Weale, A descriptive catalogue of rare manuscripts & printed books, chiefly liturgical, p. 9, 1886 (en) [9])
Richard Taruskin, Music from the Earliest Notations to the Sixteenth Century, Oxford University Press 2006, p. 143 - 144 (en) [14]
Willemien Otten, Poetry and Exegesin in Premodern Latin Christianity, p. 271, 2007 (en) [15]
Revue du chant grégorien, 2e année, n° 10, le 15 mai 1894, p. 155 - 157, L 'Alleluia v. Dulce lignum et la séquence Lauda Sion, [16] ; pour lire le texte et les notations, cliquer la rublique [155] (page)
Le sujet de triton dans la séquence Lauda Sion avait été discuté, déjà en 1849 ; Journal historique et littéraire, p. 607 [19]
Félix Danjou, Revue de la musique religieuse, populaire et classique, tome II, p. 82 [20]
Craig H. Russel, From Serra to Sancho : Music and Prageantry in California Missions, p. 223, Oxford University Press 2012 (en) [22] ; d'après l'auteur, la Fête-Dieu était l'un des sujets principaux de la Contre-Réforme, qui fit la promouvoir au rang de Pâques et Pentecôte.
Revue du monde catholique, tome 104, p. 297 - 298, 1890 [24]