« Avec Anacoluthe, le photographe et le poète proposent une œuvre « en repons » : à la magie des mots fait écho celle des lignes, des formes, des volumes et des lieux. (…) Voûtes, blocs, cryptes, galeries souterraines ou à ciel ouvert, escaliers, passerelles – en leur confrontation au poème compagnon de leur présence - jouent du contrepoint, ferraillent « au royaume des contraires », là où tout demeure à l’état de vide et de déréliction dans le « pas du pas » cher à Blanchot » — Jean-Paul Gavard-Perret, « Laurent Grison & Nathan R. Grison, "Anacoluthe" », sur www.lelitteraire.com, (consulté le )
lemonde.fr
« Laurent Grison : Une approche géographique des images de l'art occidental », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).