Lecarme-Tabone Éliane, « Essai et autobiographie : du Deuxième Sexe aux Mémoires d'une jeune fille rangée », Les Temps Modernes, vol. 654, no 3, , p. 1-21 (lire en ligne)
Guaresi M. et alii, « Les réceptions contemporaines de l’œuvre de Simone de Beauvoir en Méditerranée (France, Italie, Espagne, Israël – 1949-2019) », Cahiers Sens public, , p. I-X (ISSN1767-9397, lire en ligne)
claremont.org
La première traduction anglaise fut publiée en 1952 par l'éditeur américain Alfred A. Knopf. C'est à un professeur de zoologie que revint la traduction, Howard M. Parshley. En 1983, l'universitaire américaine Margaret A. Simons publia un article pour dénoncer les multiples coupes dont Le Deuxième Sexe avait été l'objet. Selon elle, près de 10 % du texte original avait disparu de la traduction. Ces coupes eurent pour conséquence le rendez-vous manqué de l'essai avec la philosophie du fait de la mauvaise traduction des termes philosophiques. De plus, elle jugea les coupes effectuées sexistes puisque de nombreuses références de l'histoire des femmes et de femmes autrices furent abandonnées. Ainsi, cette traduction ne fut pas sans effet dans la postérité de l'essai dans le monde anglophone. Voir l'article de Margaret A. Simons, « The silencing of Simone de Beauvoir. Guess what's missing from The Second Sex », Women's studies Int. Forum, Vol. 6, n°5, 1983, p. 559-564. L'universitaire Toril Moi écrivit également sur ce sujet et réévalua les coupes à 20 % : « While we wait : the English translation of The Second Sex », Signs, Vol. 27, n°4, Summer 2002, p. 1005-1035. A voir également : les polémiques autour de la nouvelle traduction de 2010 : http://www.claremont.org/crb/article/not-lost-in-translation/https://www.lrb.co.uk/v32/n03/toril-moi/the-adulteress-wifehttps://www.nytimes.com/2004/08/22/books/essay-lost-in-translation.html?_r=0
Voir les travaux (en cours) de Marine Rouch : « Si j'en suis arrivée là, c'est grâce à vous ». Écritures des femmes et des hommes "ordinaires" : le lectorat de Simone de Beauvoir
issn.org
portal.issn.org
Guaresi M. et alii, « Les réceptions contemporaines de l’œuvre de Simone de Beauvoir en Méditerranée (France, Italie, Espagne, Israël – 1949-2019) », Cahiers Sens public, , p. I-X (ISSN1767-9397, lire en ligne)
La première traduction anglaise fut publiée en 1952 par l'éditeur américain Alfred A. Knopf. C'est à un professeur de zoologie que revint la traduction, Howard M. Parshley. En 1983, l'universitaire américaine Margaret A. Simons publia un article pour dénoncer les multiples coupes dont Le Deuxième Sexe avait été l'objet. Selon elle, près de 10 % du texte original avait disparu de la traduction. Ces coupes eurent pour conséquence le rendez-vous manqué de l'essai avec la philosophie du fait de la mauvaise traduction des termes philosophiques. De plus, elle jugea les coupes effectuées sexistes puisque de nombreuses références de l'histoire des femmes et de femmes autrices furent abandonnées. Ainsi, cette traduction ne fut pas sans effet dans la postérité de l'essai dans le monde anglophone. Voir l'article de Margaret A. Simons, « The silencing of Simone de Beauvoir. Guess what's missing from The Second Sex », Women's studies Int. Forum, Vol. 6, n°5, 1983, p. 559-564. L'universitaire Toril Moi écrivit également sur ce sujet et réévalua les coupes à 20 % : « While we wait : the English translation of The Second Sex », Signs, Vol. 27, n°4, Summer 2002, p. 1005-1035. A voir également : les polémiques autour de la nouvelle traduction de 2010 : http://www.claremont.org/crb/article/not-lost-in-translation/https://www.lrb.co.uk/v32/n03/toril-moi/the-adulteress-wifehttps://www.nytimes.com/2004/08/22/books/essay-lost-in-translation.html?_r=0
nytimes.com
La première traduction anglaise fut publiée en 1952 par l'éditeur américain Alfred A. Knopf. C'est à un professeur de zoologie que revint la traduction, Howard M. Parshley. En 1983, l'universitaire américaine Margaret A. Simons publia un article pour dénoncer les multiples coupes dont Le Deuxième Sexe avait été l'objet. Selon elle, près de 10 % du texte original avait disparu de la traduction. Ces coupes eurent pour conséquence le rendez-vous manqué de l'essai avec la philosophie du fait de la mauvaise traduction des termes philosophiques. De plus, elle jugea les coupes effectuées sexistes puisque de nombreuses références de l'histoire des femmes et de femmes autrices furent abandonnées. Ainsi, cette traduction ne fut pas sans effet dans la postérité de l'essai dans le monde anglophone. Voir l'article de Margaret A. Simons, « The silencing of Simone de Beauvoir. Guess what's missing from The Second Sex », Women's studies Int. Forum, Vol. 6, n°5, 1983, p. 559-564. L'universitaire Toril Moi écrivit également sur ce sujet et réévalua les coupes à 20 % : « While we wait : the English translation of The Second Sex », Signs, Vol. 27, n°4, Summer 2002, p. 1005-1035. A voir également : les polémiques autour de la nouvelle traduction de 2010 : http://www.claremont.org/crb/article/not-lost-in-translation/https://www.lrb.co.uk/v32/n03/toril-moi/the-adulteress-wifehttps://www.nytimes.com/2004/08/22/books/essay-lost-in-translation.html?_r=0
univ-amu.fr
www-jstor-org.lama.univ-amu.fr
Marie-Andrée Charbonneau, « LA SEXUALITÉ FÉMININE CHEZ SIMONE DE BEAUVOIR ET HÉLÈNE DEUTSCH », Simone de Beauvoir Studies, 2004-2005, p. 43-53 (lire en ligne)
Lundgren-Gothlin, Eva. (trad. du suédois), Sexe et existence : la philosophie de Simone de Beauvoir, Paris, Michalon, , 347 p. (ISBN2-84186-144-9, OCLC406749221)