Le verset 26 du chapitre 17 est le suivant : « Et sicut factum est in diebus Noe ita erit et in diebus Filii hominis » et se traduit par « Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même aux jours du Fils de l'homme. »dansJean-Pierre Pettorelli, « Bilingual Bible French/Latin » (consulté le ).
bnf.fr
gallica.bnf.fr
Antonio de Beatis, Voyage du cardinal d'Aragon : en Allemagne, Hollande, France et Italie (1517-1518), Paris, Perrin, , 327 p. (lire en ligne), p. 105.
books.google.com
À ce sujet, il est possible de se reporter à l'article de Peter Ian Kuniholm (en) Peter Ian Kuniholm, « Dendrochronology (Tree-Ring Dating) of Panel Paintings », dendro.cornell.edu, (consulté le ) et constituant l'appendice de l'ouvrage W. Stanley Taft et James W. Mayer, The Science of Paintings, New York, Springer, , 236 p. (ISBN978-0-387-98722-4, lire en ligne).
À ce sujet, il est possible de se reporter à l'article de Peter Ian Kuniholm (en) Peter Ian Kuniholm, « Dendrochronology (Tree-Ring Dating) of Panel Paintings », dendro.cornell.edu, (consulté le ) et constituant l'appendice de l'ouvrage W. Stanley Taft et James W. Mayer, The Science of Paintings, New York, Springer, , 236 p. (ISBN978-0-387-98722-4, lire en ligne).
franceculture.fr
À l'inverse, de façon paradoxale, il existe certaines œuvres de la main de Bosch comportant la signature d'un autre artiste, tel le dessin dit « de L'Homme-arbre » comportant la signature de Pieter Brueghel l'Ancien, et certainement apposée par un collectionneur, comme l'affirme Frédéric Elsig : « Dans le cas de ce dessin [de L'Homme-arbre] […], il y a une inscription apocryphe, dans l'angle inférieur gauche de la feuille, le nom de Brueghel […] et qui a commencé sa carrière en faisant des faux à partir du répertoire boschien. […] Un collectionneur tardif a dû le considérer comme une œuvre de Brueghel et a porté la signature de Brueghel. »dansDans l'atelier de Jérôme Bosch 3 (7 min 25 s). Frédéric Elsig, interview par Tewfik Hakem, Dans l'atelier de Jérôme Bosch 3, Un autre jour est possible, France Culture, (consulté le ).
Frédéric Elsig estime que Le Jardin des délices fait suite au Jugement dernier, ce qui lui permet en effet d'étayer sa démonstration par cet argument de la "réponse" (« [Le] triptyque de Vienne […] se situe à partir de septembre 1504. C'est précisément juste après qu'il faut situer [l]e triptyque [du Jardin des délices]. »dansDans l'atelier de Jérôme Bosch 2 (2 min 40 s)). Néanmoins, il est à noter que de nombreux chercheurs en histoire de l'art intervertissent ces créations des deux œuvres (tel Stefan Fischer qui argumente cet ordre par le fait « qu'en passant la commande [du Jugement dernier], Philippe le Beau [aurait] voul[u] volontairement surpasser les dimensions du Jardin des délices commandé vers 1503. » (Stefan Fischer 2016, p. 377)) et donc invalident l'argument utilisé ici. Frédéric Elsig, interview par Tewfik Hakem, Dans l'atelier de Jérôme Bosch 2, Un autre jour est possible, France Culture, (consulté le ).
À propos du dessin Le champ a des yeux, la forêt des oreilles : « Là aussi, la feuille a suscité de nombreux commentaires qui se sont portés sur tous les champs possibles – astrologiques, alchimiques, là aussi, en cherchant à en décrypter l'ésotérisme, jusqu'au moment où on s'est aperçu qu'il s'agissait d'un rébus, c'est-à-dire « Her », c'est-à-dire en néerlandais oreilles, « augen », c'est-à-dire les yeux, « bosch », c'est-à-dire forêt, c'est-à-dire Herr-augen-bosch, c'est phonétiquement très proche « ’s-Hertogenbosch », en néerlandais, c'est la traduction de Bois-le-duc, […] dont il a tiré son nom. […] Nous avons donc une signature cryptée. […] Bosch crée des rébus pour amuser sa clientèle. » (Dans l'atelier de Jérôme Bosch 3) (10 min 45 s). Frédéric Elsig, interview par Tewfik Hakem, Dans l'atelier de Jérôme Bosch 3, Un autre jour est possible, France Culture, (consulté le ).
Une étude restituant les Commentaria Rerum Antiquarum de Cyriaque d'Ancône est en ligne : C. C. Van Essen, « Cyriaque d'Ancône en Egypte », dwc.knaw.nl, (consulté le ).
Harry Bellet, « Un délice de Bosch au Prado », lemonde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
nouvelobs.com
tempsreel.nouvelobs.com
« Ces iconographies [de scènes ésotérico-érotiques] s'inscrivent surtout dans la tradition des drôleries. À partir du XIVe siècle en effet, la mode est aux manuscrits de textes pieux égaillés de petits personnages, humains ou animaux, dessinés dans les marges du texte. On s'y culbute, on montre ses fesses, on défèque, des lapins grimpent sur des singes et inversement… »dansBenoît Van den Bossche, « Torture, sexe, monstres... Jérôme Bosch en 5 obsessions », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
« Le spectaculaire film de Tony Kaye, en 1995, inspiré du Jardin des délices terrestres de Jérôme Bosch, remporte un Lion de bronze au Festival de Cannes. »dans« L'Air du temps : à l'ombre des jeunes filles en fleur », Stratégies, (lire en ligne, consulté le ).
wikisource.org
fr.wikisource.org
Le Livre des Psaumes, Ancien Testament, Bible version Louis Segon, 1910 [lire en ligne].