« Juin : sortie à Cherbourg du n° 1 du fanzine Le Quetton, « journal 100 % fou-con ». Cette publication est une des premières de l'underground français », Roger Avau, La jeunesse d'un baby boomer (chronologie 1955-1975), Encre du Temps, 2010, page 156.
« Ailleurs, l'inspiration est « poétique, surréalo-fantastique, satirique, néo-anarchiste, antimilitariste, antisyndicaliste », ainsi que la définit le Quetton, « l'un des premiers du genre », né à Cherbourg en 1967 », Claude Bellanger, Histoire générale de la presse française : De 1958 à nos jours, Presses universitaires de France, 1969, page 412
lemonde.fr
« À son tour, la France est atteinte par la « Nova Press«. En quelques mois apparaissent plusieurs dizaines de feuilles « underground«. À [...] Cherbourg, le Quetton », Jean-Michel Palmier, Le Monde, 25 février 1972, lire en ligne, lire en ligne.
« La presse parallèle est surtout provinciale. Contrairement à ce qu'on pourrait attendre, ce n'est pas à Paris qu'elle se fabrique et se lit. Cherbourg voit paraître depuis juin 1967 le plus vieux journal underground français, le Quetton, " journal rempli de poils et de fautes d'ortographes, poétique, suréalo-fantastique, satirique, néo-anarchiste, anti-militariste, antisyndicaliste, anti-ouvrier " normaux " (sic). », Thierry Pfister, La révolution par le plaisir, Le Monde, 24 avril 1975, n° 9415, p. 16 lire en ligne.
Anne Lombard, Le mouvement hippie aux États-Unis : Une double aliénation, entre le rêve et la réalité, le salut et la perte, Casterman, Série « Documents », 1972, page 13.
ouest-france.fr
Rédaction, Le Quetton, pionnier de la presse underground, Ouest France, 2 avril 2018, lire en ligne.
unblog.fr
stabi02.unblog.fr
« À son tour, la France est atteinte par la « Nova Press«. En quelques mois apparaissent plusieurs dizaines de feuilles « underground«. À [...] Cherbourg, le Quetton », Jean-Michel Palmier, Le Monde, 25 février 1972, lire en ligne, lire en ligne.