Selon un livre de Jean Daniel publié en 2006, l'écrivain confia discrètement à sa mère être invité à l'Élysée. Laquelle lui répondit très fort, pour que toute la compagnie l'entende : " Ce n'est pas pour nous. N'y va pas, mon fils, méfie-toi. Ce n'est pas pour nous. " [7]
"Lettre aux journalistes qui oublient de l'être" par Edwy Plenel, dans Marianne le 16/05/2009 [8]
openedition.org
journals.openedition.org
"Journalisme et engagement : l’exemple de Camus", par Hyacinthe Ouingnon, Université de Limoges et Université d’Abomey-Calavi, dans Carnets, la revue de l'Association portugaise d'études françaises [6]
books.openedition.org
"Lire les Carnets d'Albert Camus", par Anne Prouteau et Agnès Spiquel, aux Presses universitaires du Septentrion, en 2012. [12]
revuedesdeuxmondes.fr
"Camus journaliste", par Robert Kopp, dans La Revue des deux mondes du 12 septembre 2019 [3]
"Marine Le Pen ne sait pas citer Camus (ni faire une recherche Google)"
par Jean-Laurent Cassely, dans Slate, 19 janvier 2015 [10]
sudouest.fr
"Albert Camus, l’exigence d’un journalisme libre" par Maria Santos-Sainz, maître de conférences à l’Institut de journalisme de Bordeaux-Aquitaine, dans Sud Ouest le 10 juin 2019 [5]