« Cette horreur, pour manger avec les domestiques, n’était pas naturelle à Julien ; il eût fait, pour arriver à la fortune, des choses bien autrement pénibles. Il puisait cette répugnance dans les Confessions de Rousseau. C’était le seul livre à l’aide duquel son imagination se figurait le monde. »inJérôme Meizoz, « Les comédies du mérite à l’âge démocratique : Stendhal après Rousseau », A contrario, Antipodes, vol. 3, , p. 68-79 (lire en ligne)