Le film est encore visible sur la plate-forme numérique d'Arte pour une durée limitée : Jóhann Jóhannsson (à partir d'Olaf Stapledon), « Last and First Men », sur arte.tv, 2017/2020/2022 (consulté le ).
bnf.fr
catalogue.bnf.fr
Olaf Stapledon (trad. Claude Saunier, préf. Brian Aldiss), Les Derniers et les Premiers : une histoire du proche et lointain futur, Denoël, coll. « Présence du futur » (no 155-157), , 412 p. (OCLC32137207, BNF35421909, présentation en ligne).
Éditions et rééditions françaises de ce livre : ▶ Olaf Stapledon (trad. Brigitte André), Créateur d'étoiles : le grand méconnu de la science-fiction, avec un avant-propos de Jorge Luis Borges et une préface de Jacques Bergier, éditions Planète, , 253 p. (OCLC460427682, BNF33181886). ▶ Réédition du même, avec les textes additifs de Borges et Bergier : Olaf Stapledon (trad. Brigitte André), Créateur d'étoiles, Paris, Oswald ("NéO" : Nouvelles éditions Oswald, coll. « Série Fantastique », , 242 p. (ISBN978-2730400268 et 2730400265). ▶ Réédition, mais sans le texte de Borges : Olaf Stapledon (trad. Brigitte André), Créateur d'étoiles, Éditions Rencontre, coll. « Chefs-d'œuvre de la science-fiction » (no 11), , 333 p.. ▶ Nouvelle édition dans une nouvelle traduction avec notes, index, annexes bio- et bibliographiques, et préface d'Olaf Stapledon mais sans les préfaces des précédentes : Olaf Stapledon (trad. Simon Ayrinhac), Créateur d'étoiles, "SF" : éditions Stapledoniennes Francophones, , 415 p. (ISBN978-2955728819 et 2955728810). ▶ Édition numérique prévue dans une nouvelle traduction : Olaf Stapledon (trad. Leo Dhayer), Créateur d'étoiles, MOUTONS ELECTR, , 320 p. (ISBN978-2361837983 et 2361837986).
bz-berlin.de
À propos du décès prématuré de Jóhann Jóhannsson, consulter : ▶ Le Figaro et AFP agence, « Johann Johannsson, compositeur des musiques de Sicario et Blade Runner 2049, meurt à 48 ans », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ). Ainsi que : ▶ « Le compositeur islandais Johann Johannsson est mort », Le Monde, (lire en ligne). Et : ▶ « Johann Johannsson, le compositeur de Prisoners et Sicario, est mort », sur Premiere.fr, (consulté le ). Pour les causes de ce décès accidentel dû à un surdosage médicamenteux, lire (en allemand) : ▶ Matthias Becker, « Mysteriöser Tod von Musik-Guru Johannsson aufgeklärt » [« Le mystère de la mort du gourou* musical Johannsson enfin révélé »], B.Z., (lire en ligne, consulté le ). *Dans ce dernier article, Jóhannsson est surnommé "gourou musical" probablement parce qu'il a impulsé un style de musiques de film particulier, style qui a fait des émules ; par exemple, il est ailleurs qualifié de « mentor de Hildur Guðnadóttir »[6], autre musicienne et compositrice (entre autres de musiques de film) islandaise, elle aussi aujourd'hui internationalement reconnue et multi-récompensée. C'est d'ailleurs elle — avec entre autres Yair Elazar Glotman(en) — qui a finalisé le film de Jóhannsson avant sa présentation à la Berlinale 2020, et on l'entend aussi jouer de son violoncelle dans la bande-son[8]. Elle est d'ailleurs créditée au générique de fin parmi les musiciens.
grapevine.is
John Rogers, « Alien Communication : From Hafnarfjörður To Hollywood, Hildur Guðnadóttir Hits The Big Time » [« Communication extraterrestre : de Hafnarfjörður à Hollywood, Hildur Guðnadóttir frappe un grand coup »], The Reykjavik Grapevine, (lire en ligne, consulté le ).
Notre traduction du catalogue de la biennale d'art contemporain de Manchester 2017, cité dans : (en) Chris O'Falt, « Jóhann Jóhannsson’s Fight to Be Visionary, From His Film Scores to His Directorial Debut » [« Le combat de Jóhann Jóhannsson pour être [considéré comme] visionnaire, de ses partitions de film à ses débuts de réalisateur »], sur IndieWire.com, (consulté le ).
À propos du décès prématuré de Jóhann Jóhannsson, consulter : ▶ Le Figaro et AFP agence, « Johann Johannsson, compositeur des musiques de Sicario et Blade Runner 2049, meurt à 48 ans », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ). Ainsi que : ▶ « Le compositeur islandais Johann Johannsson est mort », Le Monde, (lire en ligne). Et : ▶ « Johann Johannsson, le compositeur de Prisoners et Sicario, est mort », sur Premiere.fr, (consulté le ). Pour les causes de ce décès accidentel dû à un surdosage médicamenteux, lire (en allemand) : ▶ Matthias Becker, « Mysteriöser Tod von Musik-Guru Johannsson aufgeklärt » [« Le mystère de la mort du gourou* musical Johannsson enfin révélé »], B.Z., (lire en ligne, consulté le ). *Dans ce dernier article, Jóhannsson est surnommé "gourou musical" probablement parce qu'il a impulsé un style de musiques de film particulier, style qui a fait des émules ; par exemple, il est ailleurs qualifié de « mentor de Hildur Guðnadóttir »[6], autre musicienne et compositrice (entre autres de musiques de film) islandaise, elle aussi aujourd'hui internationalement reconnue et multi-récompensée. C'est d'ailleurs elle — avec entre autres Yair Elazar Glotman(en) — qui a finalisé le film de Jóhannsson avant sa présentation à la Berlinale 2020, et on l'entend aussi jouer de son violoncelle dans la bande-son[8]. Elle est d'ailleurs créditée au générique de fin parmi les musiciens.
lemonde.fr
À propos du décès prématuré de Jóhann Jóhannsson, consulter : ▶ Le Figaro et AFP agence, « Johann Johannsson, compositeur des musiques de Sicario et Blade Runner 2049, meurt à 48 ans », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ). Ainsi que : ▶ « Le compositeur islandais Johann Johannsson est mort », Le Monde, (lire en ligne). Et : ▶ « Johann Johannsson, le compositeur de Prisoners et Sicario, est mort », sur Premiere.fr, (consulté le ). Pour les causes de ce décès accidentel dû à un surdosage médicamenteux, lire (en allemand) : ▶ Matthias Becker, « Mysteriöser Tod von Musik-Guru Johannsson aufgeklärt » [« Le mystère de la mort du gourou* musical Johannsson enfin révélé »], B.Z., (lire en ligne, consulté le ). *Dans ce dernier article, Jóhannsson est surnommé "gourou musical" probablement parce qu'il a impulsé un style de musiques de film particulier, style qui a fait des émules ; par exemple, il est ailleurs qualifié de « mentor de Hildur Guðnadóttir »[6], autre musicienne et compositrice (entre autres de musiques de film) islandaise, elle aussi aujourd'hui internationalement reconnue et multi-récompensée. C'est d'ailleurs elle — avec entre autres Yair Elazar Glotman(en) — qui a finalisé le film de Jóhannsson avant sa présentation à la Berlinale 2020, et on l'entend aussi jouer de son violoncelle dans la bande-son[8]. Elle est d'ailleurs créditée au générique de fin parmi les musiciens.
liverpool.ac.uk
digitalheritagelab.liverpool.ac.uk
Université de Liverpool, Special Collections and Archives lien
premiere.fr
À propos du décès prématuré de Jóhann Jóhannsson, consulter : ▶ Le Figaro et AFP agence, « Johann Johannsson, compositeur des musiques de Sicario et Blade Runner 2049, meurt à 48 ans », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ). Ainsi que : ▶ « Le compositeur islandais Johann Johannsson est mort », Le Monde, (lire en ligne). Et : ▶ « Johann Johannsson, le compositeur de Prisoners et Sicario, est mort », sur Premiere.fr, (consulté le ). Pour les causes de ce décès accidentel dû à un surdosage médicamenteux, lire (en allemand) : ▶ Matthias Becker, « Mysteriöser Tod von Musik-Guru Johannsson aufgeklärt » [« Le mystère de la mort du gourou* musical Johannsson enfin révélé »], B.Z., (lire en ligne, consulté le ). *Dans ce dernier article, Jóhannsson est surnommé "gourou musical" probablement parce qu'il a impulsé un style de musiques de film particulier, style qui a fait des émules ; par exemple, il est ailleurs qualifié de « mentor de Hildur Guðnadóttir »[6], autre musicienne et compositrice (entre autres de musiques de film) islandaise, elle aussi aujourd'hui internationalement reconnue et multi-récompensée. C'est d'ailleurs elle — avec entre autres Yair Elazar Glotman(en) — qui a finalisé le film de Jóhannsson avant sa présentation à la Berlinale 2020, et on l'entend aussi jouer de son violoncelle dans la bande-son[8]. Elle est d'ailleurs créditée au générique de fin parmi les musiciens.
À propos du décès prématuré de Jóhann Jóhannsson, consulter : ▶ Le Figaro et AFP agence, « Johann Johannsson, compositeur des musiques de Sicario et Blade Runner 2049, meurt à 48 ans », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ). Ainsi que : ▶ « Le compositeur islandais Johann Johannsson est mort », Le Monde, (lire en ligne). Et : ▶ « Johann Johannsson, le compositeur de Prisoners et Sicario, est mort », sur Premiere.fr, (consulté le ). Pour les causes de ce décès accidentel dû à un surdosage médicamenteux, lire (en allemand) : ▶ Matthias Becker, « Mysteriöser Tod von Musik-Guru Johannsson aufgeklärt » [« Le mystère de la mort du gourou* musical Johannsson enfin révélé »], B.Z., (lire en ligne, consulté le ). *Dans ce dernier article, Jóhannsson est surnommé "gourou musical" probablement parce qu'il a impulsé un style de musiques de film particulier, style qui a fait des émules ; par exemple, il est ailleurs qualifié de « mentor de Hildur Guðnadóttir »[6], autre musicienne et compositrice (entre autres de musiques de film) islandaise, elle aussi aujourd'hui internationalement reconnue et multi-récompensée. C'est d'ailleurs elle — avec entre autres Yair Elazar Glotman(en) — qui a finalisé le film de Jóhannsson avant sa présentation à la Berlinale 2020, et on l'entend aussi jouer de son violoncelle dans la bande-son[8]. Elle est d'ailleurs créditée au générique de fin parmi les musiciens.
worldcat.org
Olaf Stapledon (trad. Claude Saunier, préf. Brian Aldiss), Les Derniers et les Premiers : une histoire du proche et lointain futur, Denoël, coll. « Présence du futur » (no 155-157), , 412 p. (OCLC32137207, BNF35421909, présentation en ligne).
Éditions et rééditions françaises de ce livre : ▶ Olaf Stapledon (trad. Brigitte André), Créateur d'étoiles : le grand méconnu de la science-fiction, avec un avant-propos de Jorge Luis Borges et une préface de Jacques Bergier, éditions Planète, , 253 p. (OCLC460427682, BNF33181886). ▶ Réédition du même, avec les textes additifs de Borges et Bergier : Olaf Stapledon (trad. Brigitte André), Créateur d'étoiles, Paris, Oswald ("NéO" : Nouvelles éditions Oswald, coll. « Série Fantastique », , 242 p. (ISBN978-2730400268 et 2730400265). ▶ Réédition, mais sans le texte de Borges : Olaf Stapledon (trad. Brigitte André), Créateur d'étoiles, Éditions Rencontre, coll. « Chefs-d'œuvre de la science-fiction » (no 11), , 333 p.. ▶ Nouvelle édition dans une nouvelle traduction avec notes, index, annexes bio- et bibliographiques, et préface d'Olaf Stapledon mais sans les préfaces des précédentes : Olaf Stapledon (trad. Simon Ayrinhac), Créateur d'étoiles, "SF" : éditions Stapledoniennes Francophones, , 415 p. (ISBN978-2955728819 et 2955728810). ▶ Édition numérique prévue dans une nouvelle traduction : Olaf Stapledon (trad. Leo Dhayer), Créateur d'étoiles, MOUTONS ELECTR, , 320 p. (ISBN978-2361837983 et 2361837986).