Cf. François Mitterrand qui eut cette formule : « Il y a deux sortes d'hommes : ceux qui ont lu Les Deux Étendards, et les autres. » (« Le bal des maudits », 14 juin 2011).
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Cf. par exemple George Steiner, cité sur le blog de Pierre Assouline, La République des livres (« Éblouissant Steiner », 3 juin 2005) : « Un article admiratif de Camus avait attiré mon attention sur Les Deux Étendards. Dès la première page, j’ai su que c’était une œuvre de génie et que la création de la jeune femme Anne-Marie, est comparable à du Tolstoï. Un livre trop long et trop didactique mais avec des parties époustouflantes d’amour et d’humanité. Or Rebatet est aussi l’homme des Décombres, un vrai tueur, le dernier des salauds ».