Le linguiste Maurice Guignard, mort en 2001, affirma l'avoir fait (Maurice Erwin Guignard : Comment j'ai déchiffré la langue étrusque. Impr. Avisseau, Burg Puttlingen 1962, Bonneval 1965) : voici une traduction fantaisiste, qu'il aurait effectuée, des cinq premières lignes du Liber Linteus : [2]
Strophes étrusques: - Ceia hia etnam ciz trin velθre. Male ceia hia etnam ciz vacl aisvale. Male ceia hia trinθ etnam ciz ale. Male ceia hia etnam ciz vacl vile vale. Staile itrile hia ciz trinθasa sacnitn. Translation urnordisk (ancien nordique): - Skæva hjá Œthnum síth Veizla threnn hveldr. Mál skæva hjá Œthnum síth Veizla œs-vále. Mál skæva hjá threnn thá Œthnum sít Ale. Mál skæva hjá Œthnum síth Veizla vill-vále. Stæle i-trylle hjá (œthnum) síth threnn thá sa saknithin. Traduction française: - Gambade avec frénésie, ensorcelle le banquet, trois fois renverse-toi. En cadence gambade avec frénésie, ensorcelle le banquet, avec fureur lamente-toi. En cadence gambade trois fois alors avec frénésie, ensorcelle le temple. En cadence gambade avec frénésie, ensorcelle le banquet, sauvagement lamente-toi. Chante, transforme-toi en troll avec frénésie, ensorcelle alors trois fois ce disparu.