Article 1 de la Constitution de la Libye de 2011 : « Arabic shall be the official language, while the linguistic and cultural rights of the Amazigh, the Tabous, the Touareg and the other components of the Libyan society shall be guaranteed », https://www.constituteproject.org/constitution/Libya_2011.pdf.
Depuis la chute de la Jamahiriya arabe libyenne, le pays n'a plus de nom en forme longue, la constitution définitive n'ayant pas encore été adoptée. Le nom de République libyenne est apparu sur le site officiel du Conseil national de transition et dans certaines proclamations, mais ne figure pas dans les documents officiels codifiant provisoirement les institutions du pays. Le Code de rédaction interinstitutionnel de l'UE utilise « Libye » comme « nom long » du pays.
« A Syrte, la Libye chasse l’Etat islamique de son fief », Le Monde, (lire en ligne).
Frédéric Bobin e et Marc Semourl, « Les deux hommes forts de Libye se rencontrent en France », Le Monde, (lire en ligne).
Frédéric Bobin et Jacques Follorou, « Le dossier libyen, domaine réservé de l’Elysée », Le Monde, (lire en ligne).
Frédéric Bobin et Benoît Vitkine, « A Moscou, le maréchal Haftar refuse de signer un projet de cessez-le-feu sur la Libye », Le Monde, (lire en ligne).
« Hanane Al-Barassi, avocate et défenseuse des droits des femmes, abattue en pleine rue en Libye », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
Michael Crowder, chap. 12 « La première guerre mondiale et ses conséquences », dans A. Adu Boahen, Histoire générale de l'Afrique, vol. VII : L’Afrique sous domination coloniale, 1880-1935, UNESCO, , 938 p. (ISBN92-3-201713-X, lire en ligne), p. 324.