Voir Gras (1923) (bibliographie), page 68. Information reprise de l'ouvrage [Collectif], Ecole Polytechnique - Livre du Centenaire (1794-1894) , tome III, Paris, Gauthier-Villars, 1897, page 218 (sur le site Internet Archive).
bnf.fr
gallica.bnf.fr
« N° 14250 - Ordonnance du Roi relative à l'établissement d'un chemin de fer de la Loire au Pont de l'Ane sur la rivière de Furens, par le territoire Houiller de Saint-Étienne, département de la Loire », Bulletin des lois du royaume de France, Paris, Imprimerie royale, vII, vol. 16, no 591, , p. 193 - 197 (lire en ligne).
Ordonnance du roi du in Bulletin d’industrie agricole et manufacturière, tome second, édité par Société agricole et industrielle de l'arrondissement de Saint-Étienne, Saint-Étienne, 1824, page 267.
Voir article « chemins de fer » (bibliographie) in Bulletin d’industrie agricole et manufacturière, tome troisième, Saint-Étienne, an 1825, page 180. Delestrac, tome II, page 504, précise : « Dans la cour de la maison qui porte aujourd'hui le no 7 de la rue de la préfecture, à Saint-Étienne, M. Saignol, chargé de l'exécution des travaux sous les ordres de M. Beaunier, avait installé un petit chemin de fer, sur lequel couraient de petits wagons, au moyen desquels on se livrait à une échelle réduite à des expériences, concernant notamment l'action de la force centrifuge sur les véhicules dans les parties courbes de la voie. »
Voir article « Chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire » (bibliographie), in Bulletin d’industrie agricole et manufacturière, tome quatrième, Saint-Étienne, 1826, page 42 in fine. Idem Journal du commerce, , p. 2, 2de colonne. Dans son mémoire à Becquey, directeur général des ponts et chaussées et des mines, contestant le cahier des charges de la compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon (1826), la compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire rappelle que « dès l’année 1822 nous avons déposé au Conservatoire des Arts et Métiers les représentations en bois et en fonte (dans leurs vraies dimensions) des pièces dont se compose un chemin de fer, de la sorte appelée Edge rail wail, la seule que maintenant on fait usage (sic) en Angleterre pour établir de grandes communications… Cette sorte de chemin n’a été décrite dans aucun autre ouvrage français. » (cf. Gras (1924), note 1, page 119).
Voir article « Canaux – Chemin de fer » (bibliographie) in Bulletin d’industrie agricole et manufacturière, tome quatrième, Saint-Étienne, 1826, page 178. Grangez (bibliographie), page 534, indique le mois d’.
Voir article « Du chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire » (bibliographie), in Bulletin des sciences technologiques, cinquième section du Bulletin universel des sciences et de l’industrie, sous la direction du bon de Férusac, tome quatrième, Paris, 1825, page 62, précise que le chemin de fer est « Etabli sur une seule pente des points de départ [Pont-de-l’Âne et la Verrerie] à la Loire. » (NB : article citant in fine celui paru dans le Bulletin d’industrie agricole de Saint-Étienne, novembre - décembre 1824, page 257 (cf. bibliographie)).
Voir Zellmeyer (1973) (bibliographie), page 126. Voir également Coste & Perdonnet (« Sur les chemins de fer à ornières », in Annales des mine, deuxième série, Tome 6, Paris, 1829, page 167]) et Smith (bibliographie), page 154
(en) Sarah Baxter, History of the World in 500 Railway Journeys, Aurum Press, , 400 p. (lire en ligne), p. 270.
Voir article « Chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire » (bibliographie), in Bulletin d’industrie agricole et manufacturière, tome quatrième, Saint-Étienne, 1826, page 42 in fine. Idem Journal du commerce, , p. 2, 2de colonne. Dans son mémoire à Becquey, directeur général des ponts et chaussées et des mines, contestant le cahier des charges de la compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon (1826), la compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire rappelle que « dès l’année 1822 nous avons déposé au Conservatoire des Arts et Métiers les représentations en bois et en fonte (dans leurs vraies dimensions) des pièces dont se compose un chemin de fer, de la sorte appelée Edge rail wail, la seule que maintenant on fait usage (sic) en Angleterre pour établir de grandes communications… Cette sorte de chemin n’a été décrite dans aucun autre ouvrage français. » (cf. Gras (1924), note 1, page 119).
Nécrologie de Pierre Louis Gillet, Mémorial de la Loire et de la Haute-Loire, 25 mars 1866, 2e page, 4e colonne (lire en ligne).
Voir article « Chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire » (bibliographie), in Bulletin d’industrie agricole et manufacturière, tome quatrième, Saint-Étienne, 1826, page 42 in fine. Idem Journal du commerce, , p. 2, 2de colonne. Dans son mémoire à Becquey, directeur général des ponts et chaussées et des mines, contestant le cahier des charges de la compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon (1826), la compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire rappelle que « dès l’année 1822 nous avons déposé au Conservatoire des Arts et Métiers les représentations en bois et en fonte (dans leurs vraies dimensions) des pièces dont se compose un chemin de fer, de la sorte appelée Edge rail wail, la seule que maintenant on fait usage (sic) en Angleterre pour établir de grandes communications… Cette sorte de chemin n’a été décrite dans aucun autre ouvrage français. » (cf. Gras (1924), note 1, page 119).