. Il s’agit de Gabriel Alexandre Apert, né à Paris le 17 mai 1907. Déporté dans le convoi I.173 parti de Compiègne le 27 janvier 1944, il fut d’abord interné au camp de concentration de Buchenwald sous le n° 43746, puis transféré à Dachau, probablement début avril 1945, au cours des terribles « marches de la mort ». Source : Base de données du Mémorial de la Fondation pour la mémoire de la déportation. Le camp de Dachau ayant été libéré le 29 avril 1945 par la 45e division d'infanterie de la septième Armée américaine, son décès, survenu le 2 juin, n'a pas eu lieu au camp lui-même, mais il fit suite aux mauvais traitements subis, avant qu'il puisse être rapatrié.
bnf.fr
gallica.bnf.fr
Léon Javary, Histoire du département de l'Indre-et-Loire, avec la biographie des personnages remarquables qui en sont originaires, Éditeur : C. Guérin, 1889 p. 8 Lien Gallica
Base Mérimée[1] Référence PA00097817 pour les façades et les toitures.
Base Mérimée[3] Référence IA37001283 pour le pigeonnier, la terrasse en terre-plein, la rampe d'accès, les communs, la clôture de jardin, le jardin potager, l'avenue de jardin et l'escalier indépendant.
Base Mérimée[4] Référence PA00097816 pour : chapelle, escalier, cheminée, élévation, décor intérieur et toiture.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Jacque-Pierre Millote, Éléments de pré et protohistoire européenne, Annales littéraires de l'université de Besançon, Les Belles Lettres, Paris, 1984 p. 309 Lire en ligne
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persee.fr
Marie-Ève Sheffer et Sylvie Serre, Le palais de Limeray : une étude de bâti en Indre-et-Loire, in Revue archéologique du Centre de la France tome 36, 1997, pp. 161-173[2]
Pierre Molan, trésorier de l’Épargne, avait frauduleusement amassé une somme de 250 mille écus d’or, qui fut découverte le 5 mars 1589 par les soins de Machault, et dont le conseil de la Ligue profita. Voir Satyre Menipee sur Wikisource : Page:Satyre Menippee.djvu/053