Manuel de philologie classique, Paris, Hachette, 1880 ; nouv. éd., 1883-1884, 2 vol. (vol. 1 ; vol. 2 : Appendice en ligne) ; éd. mise à jour de 1907, particulièrement les pages 5 à 22 (en ligne)
persee.fr
Michel Espagne, « L'invention de la philologie. Les échos français d'un modèle allemand », In : Histoire Épistémologie Langage, tome 19, fascicule 1, 1997. Construction des théories du son [Première partie] p. 121-134 (en ligne).
remacle.org
Terme que, depuis Ératosthène au IIIe siècle av. J.-C. et après lui Ateius dit Philologus, s'attribuaient les savants reconnus pour leurs « connaissances nombreuses et variées » : À propos d'Ateius : « Il paraît qu’il prit le titre de Philologue, parce qu’il passait, comme Ératosthène, qui se l’était donné le premier, pour avoir des connaissances très étendues et très variées (trad. fr. Théophile Baudement, 1845). Cf. Suétone, Grammairiens illustres, X, 2 : « Philologi appellationem assumpsisse videtur quia sicut Eratosthenes, qui primus hoc cognomen sibi vindicavit, multiplici variaque doctrina censebatur. »