Dissolution du conseil municipal élu en mars 1983 par décret du Conseil des ministres en date du et paru dans le JORF du [1]
Francis Gouge, « La folle nuit de Limeil-Brévannes », Le Monde, (lire en ligne) « La décision du Conseil d'État d'inverser les résultats des élections municipales à Limeil-Brévannes mais de maintenir le maire, M. Berjal (PC) à son poste, à la suite des fraudes constatées lors du scrutin de mars, a créé une situation sans précédent et inextricable. »
Agnès Vives, « Françoise Lecoufle (UMP) crée la surprise au 1er tour à Limeil », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
Agnès Vives, « Limeil-Brévannes : Françoise Lecoufle (LR) garde son écharpe de maire : La maire réélue dès le premier tour a été installée ce jeudi soir. Mais le candidat Stéphane Kozjan (SE) a déposé un recours », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le )« Le 15 mars, la conseillère départementale avait emporté le premier tour haut la main, avec 65,49 % des voix. Elle qui avait fait basculer la ville à droite en 2014 avait face à elle, quatre listes : Raymond Cathala (PS, 14,03 %), Delphine Borgna (DVG, 9,83 %), Stéphane Kozjan (SE, 8,8 %) et Gilles Périn (UPR, 1,83 %) ».
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« En 1992, le maire avait été réélu après avoir dissous le conseil pour contrer une dissidence majoritaire dans ses rangs. »[2]