Liste des maires de Noyon (French Wikipedia)

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courrier-picard.fr

  • Réélu pour le mandat 2014-2020: Orianne Maerten, « Patrick Deguise reprend son fauteuil de maire : Le nouveau conseil municipal de Noyon a été mis en place ce samedi 5 avril. Sans surprise, Patrick Deguise (PS) retrouve son fauteuil de maire. Neuf adjoints l’aideront dans sa tâche. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).

culture.gouv.fr

leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr

francegenweb.org

francetvinfo.fr

france3-regions.francetvinfo.fr

  • Paul-Antoine Leclercq, « Municipales 2020 : qui est Sandrine Dauchelle, la nouvelle maire de Noyon ? », France 3 Hauts-de-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).

leparisien.fr

leparisien.fr

elections.leparisien.fr

oisehebdo.fr

  • « Noyon. Sandrine Dauchelle (LR) élue maire, l’opposition quitte le conseil municipal », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).

wikiwix.com

archive.wikiwix.com

  • Jean-Yves Bonnard, « Louis Charles Druon, maire de Noyon et oncle d’un général d’empire : Il est des personnalités qui ont su traverser plusieurs régimes politiques tout en demeurant au premier plan. C’est le cas de Charles Druon, maire de Noyon sous l’ancien régime, la Révolution et l’Empire... », Vivre Noyon, no 20,‎ , p. 15 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  • Jean-Yves Bonnard, « Sézille de Biarre, un nom, deux maires de Noyon : Famille aux nombreuses attaches noyonnaises, les Sézille de Biarre donneront deux maires à la ville de Noyon au cours du XIXe siècle sous deux régimes politiques : la monarchie et l’empire. », Vivre Noyon, no 81,‎ , p. 16 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  • Jean-Yves Bonnard, « Marie-Louis-Jules Audebert, le maire éclairé : En février 1848, une révolution populaire mettait à bas la Monarchie de Juillet. L’abdication de Louis-Philippe, roi des Français, donna naissance à la IIe République qui porta à sa tête Louis-Napoléon Bonaparte. À Noyon, le nouveau régime se caractérisa par l’élection de Jules Audebert comme maire », Vivre Noyon, no 62,‎ , p. 10 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  • Jean-Yves Bonnard, « Ernest Noël, sénateur-maire de Noyon (1re partie) Les conquêtes politiques : Le 13 janvier 1931, le président du Sénat Paul Doumer rendait un hommage solennel à la mémoire d’Ernest Noël décédé le 25 décembre 1930 : « Il n’a jamais eu d’autre préoccupation que de servir l’intérêt public ». Quelques mois plus tard, devenu président de la république, il accepta de parrainer le comité d’honneur formé pour ériger un monument en l’honneur de l’illustre Noyonnais. Jules Magnier, alors maire de Noyon, lança un appel à la générosité de ses concitoyens : « C’est pour la ville de Noyon un devoir et un honneur d’attirer votre attention sur la vie exemplaire du grand Citoyen et du grand Français qui vient de disparaître, M. E. Noël, et de faire appel à vos sentiments de justice et de gratitude pour perpétuer la mémoire de cet homme de bien ». », Vivre Noyon, no 36,‎ , p. 16 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  • Fabien Crinon, « Jules Magnier, directeur d’école laïque (1re partie : Après avoir débuté sa carrière d’instituteur en passant douze ans dans plusieurs écoles villageoises de l’Oise, Jules Magnier est nommé en 1889 à la direction de l’école communale laïque des garçons de Noyon. Cette promotion est intervenue dans le contexte des premières lois de laïcisation de la République », Vivre Noyon, no 53,‎ , p. 14 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  • Fabien Crinon, « Jules Magnier, maire de Noyon et conseiller général de l’Oise durant l’entre-deux-guerres (2e partie) : Le 11 janvier 1936, l’ancien maire de Noyon et directeur honoraire d’école Jules Magnier est nommé chevalier de la Légion d’honneur, distinction qui lui sera remise le 15 mars suivant par le colonel Achille Granthomme. La Gazette de l’Oise rapporte que le doyen de la majorité départementale est « considéré dans tous les milieux comme personnifiant le dévouement au bien public, ayant, au cours de sa laborieuse existence, consciencieusement rempli tous les devoirs qui lui incombaient. » », Vivre Noyon, no 54,‎ , p. 14 (lire en ligne [PDF], consulté le ).