André-François Isambert, Decrusy et Taillandier, Recueil général des anciennes lois françaises : depuis l’an 420 jusqu’à la Révolution de 1789, t. XIV, 1re partie : – , Paris, Belin-Leprieur et Verdière, , 1re éd. (BNF33851046, lire en ligne), p. 265, no 2 [lire en ligne (page consultée le 7 janvier 2017)].
André-François Isambert, Decrusy et Taillandier, Recueil général des anciennes lois françaises : depuis l’an 420 jusqu’à la Révolution de 1789, t. XIV, 1re partie : – , Paris, Belin-Leprieur et Verdière, , 1re éd. (BNF33851046, lire en ligne), p. 265, no 2 [lire en ligne (page consultée le 7 janvier 2017)].
Expression utilisée par le père Dominique de Jésus-Marie pour qualifier la dynastie des Mérovingiens (Dominique de Jésus-Marie (trad. Modeste de S. Amable), La Monarchie sainte historique, chronologique et généalogique de France : les Vies des saints et bien-heureux qui sont sortis de la seconde tyge royale de France, Nicolas Jacquard, (lire en ligne), p. 475).
Gabriel Peignot, « Lettre sur les rois de France qui ont porté le nom de Charles », dans Opuscules de Gabriel Peignot extraits de divers journaux, revues, recueils littéraires, etc., dont il n'a été fait tirage à part, J. Techener, (lire en ligne).